24 juillet 2009
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Le bien commun mondial
Dans la mise en place urgente d’une « véritable autorité politique mondiale » réclamée par Caritas in veritate (§ 67), il s’agit bien d’une autorité et non pas d’un gouvernement. D’un coup d‘œil très sûr, Yves Daoudal a tout de suite mis en garde contre une confusion entre ces deux notions : « Nous connaissons pourtant la différence, avec toutes les “hautes autorités” inventées ces dernières années par notre gouvernement. » Jean-Paul II avait prévenu : « Il est important d‘éviter tout malentendu : il n’est pas question de constituer un super-Etat mondial. »
Alors, dira-t-on, il est question de quoi ?
Pour comprendre ce qui est en question, il faut d’abord se rappeler qu’il existe en doctrine trois sociétés « naturelles et nécessaires » : la famille, l’Etat, la société des Etats.
La suite de cet article de Jean Madiran est en accès libre ici directement sur le site de PRESENT.
Dans la mise en place urgente d’une « véritable autorité politique mondiale » réclamée par Caritas in veritate (§ 67), il s’agit bien d’une autorité et non pas d’un gouvernement. D’un coup d‘œil très sûr, Yves Daoudal a tout de suite mis en garde contre une confusion entre ces deux notions : « Nous connaissons pourtant la différence, avec toutes les “hautes autorités” inventées ces dernières années par notre gouvernement. » Jean-Paul II avait prévenu : « Il est important d‘éviter tout malentendu : il n’est pas question de constituer un super-Etat mondial. »
Alors, dira-t-on, il est question de quoi ?
Pour comprendre ce qui est en question, il faut d’abord se rappeler qu’il existe en doctrine trois sociétés « naturelles et nécessaires » : la famille, l’Etat, la société des Etats.
La suite de cet article de Jean Madiran est en accès libre ici directement sur le site de PRESENT.