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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 12:59

Un article paru dans Le Progrès de Lyon, édition Sud Ouest, le jeudi 1er avril 2010.

Pour information, l'école dispose d'un site internet dont on trouvera le lien dans la colonne liens de ce blog.

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Installée à Francheville depuis septembre 2008, sous la tutelle de la fraternité Saint-Pierre, l'école Sainte-Jeanne d'Arc éduque les enfants dans la foi chrétienne et promet un enseignement de qualité. Que faut-il en penser ?

Ce n'est pas un établissement scolaire classique. « C'est sûrement la seule école au monde où les enfants peuvent faire de la luge à la récré, » témoigne en souriant l'Abbé Benoît de Giacomoni.

Il faut dire que la cour propose un cadre idyllique de verdure, au pied d'un bâtiment lui aussi très luxueux.

L'école Sainte-Jeanne d'Arc y est installée depuis l'été 2008, dans des murs appartenant aux religieuses de Notre-Dame de Bon Secours.

« L'école a été créée par des parents en 2007, et a commencé dans leur maison, à Tassin, rue Jeanne d'Arc, d'où le nom, » confie le directeur, ordonné prêtre il y a deux ans après sept ans de formation.

Il poursuit : « Nous nous sommes ensuite installés, toujours à Tassin, dans le monastère des Clarisses, avant de venir dans ces locaux de la fraternité Saint-Pierre, dont nous faisons tous partie. »

L'école qui accueille 46 élèves et quatre enseignantes salariées est une école primaire catholique hors contrat.

« Nous avons une liberté dans le choix des enseignants, des matières et des programmes, » reconnaît le prêtre âgé de 27 ans. Avant de nuancer toutefois : « Mais on est en lien étroit avec l'Académie, on n'enseigne pas n'importe quoi. »

Blouses et uniformes sont tout de même de rigueur, tout comme la prière matinale, et la messe hebdomadaire le jeudi. Mais l'Abbé tient à rassurer : « On ne peut pas se permettre d'être hors contrat et de ne pas proposer de la qualité. On ne serait pas crédibles. »

Au 1 du chemin de la petite champagne, la vie est rythmée par le calendrier liturgique. « Les enfants sont élevés dans la foi chrétienne, comme démultiplicateur de l'instruction. Mais l'atmosphère catholique n'est pas le seul atout. Les parents qui inscrivent leurs enfants ici veulent fuir la faillite du système scolaire. On revient à une pédagogie plus classique, » note l'Abbé.

Et de rappeler que la fraternité Saint-Pierre travaille avec la bénédiction de l'Archevêque de Lyon, et est fidèle au Saint-Siège, contrairement aux Lefevristes. Au diocèse, on indique toutefois « ne pas avoir de regard sur cette école. Ce sont des gens qui volent de leurs propres ailes. »

De son côté, le maire de Francheville René Lambert, il explique « ne pas avoir eu son mot à dire. Mon seul rôle a été de vérifier que les conditions d'accueil et de sécurité étaient respectées. Nous n'avons pas d'avis à émettre. » Cette école est-elle comme les autres ? « Non, nous aidons les autres écoles. Celle-ci est considérée comme un bâtiment qui reçoit du public. »

Quant à l'académie, elle n'a pas souhaité donner son avis.

Une fois le primaire terminé, les élèves partent sous d'autres cieux. La plupart aux Chartreux, où l'abbé indique avoir « d'excellents retours d'élèves équilibrés et sociables. Ça nous réjouit qu'ils soient épanouis. »

Vincent Huchon

« Pour que mes enfants grandissent sainement »

Agnès réside à Lyon et a fait ce choix pour que ses enfants « grandissent sainement ». L'an passé, Madeleine (CE1) et Louis (CP) étaient dans une école publique.

« Les méthodes ne sont pas adaptées ni assez structurantes, résume-t-elle. Le temps est perdu en éducatif alors que c'est le rôle des parents.

On leur enseigne comment trier les déchets mais ils ne lisent pas couramment. Je préfère les méthodes utilisées ici, les conditions sont idéales, petit effectif (10 élèves par classes), cadre agréable, ambiance chaleureuse.

Les enfants sont épanouis et toutes les familles arrivent à se connaître. J'apprécie l'état d'esprit religieux dans l'école ».

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 10:57

 

Benoît XVI en compagnie de son frère Georg RatzingerBenoît XVI a entrepris une lutte opiniâtre contre la pédophilie dans l’Eglise. Pourtant, il n’est pas épargné par la polémique. En arrière-plan, la volonté de faire plier l’Eglise sur le célibat des prêtres.

D’abord, dire le dégoût et la honte. Le dégoût de voir des prêtres à qui des parents, parce qu’ils avaient affaire à des hommes de Dieu, ont confié leur enfant en toute confiance, et qui ont trahi cette confiance de la plus atroce manière : «Mieux vaudrait pour lui se voir passer autour du cou une meule de moulin et être précipité à la mer, plutôt que de scandaliser un seul de ces petits », dit Jésus (Luc 17, 2). La honte, pour tout catholique, de voir le visage de l’Eglise souillé par une telle trahison, et l’immense majorité des prêtres, qui vit son sacerdoce avec conscience et générosité, frappée par une insupportable suspicion. Cette honte et ce dégoût, on les retrouve exprimés dans la Lettre pastorale aux catholiques d’Irlande que Benoît XVI a publiée le 20 mars, lettre absolument sans précédent dans l’histoire de l’Eglise.

Il ne se contentait pas d’y renouveler sa condamnation de ces « actes scandaleux et criminels », mais reconnaissait également les fautes de la hiérarchie dans sa gestion de ces affaires. « De graves erreurs de jugement furent commises et des manquements dans le gouvernement ont eu lieu. Tout cela a sérieusement miné votre crédibilité et efficacité », écrivait le pape aux évêques d’Irlande (le 24 mars, Benoît devait accepter la démission de l’entre eux, Mgr John Magee, accusé de passivité dans sa gestion de ces affaires dans son diocèse). Remarquable de fermeté mais aussi de douceur, la lettre du pape a su trouver les mots justes pour évoquer les blessures des victimes et leur légitime révolte contre l’Eglise : « Il est compréhensible que vous trouviez difficile de pardonner ou de vous réconcilier avec l'Eglise. En son nom, je vous exprime ouvertement la honte et le remord que nous éprouvons tous. » Et pour inviter, à travers un certain de nombre de conseils concrets (appel au jeûne, à l’Adoration, au sacrement de Réconciliation, mais aussi le lancement d’une vaste mission nationale pour aider à redécouvrir les fondements de la vocation), à « un chemin de guérison, de renouveau et de réparation ».

S’agit-il, comme on l’a lu ici ou là, d’un texte de circonstance, d’une réaction tardive à laquelle Benoît XVI aurait été acculé par l’exposition médiatique de scandales passés ? L’examen objectif de son pontificat, et même de son action sous le pontificat de Jean-Paul II, prouve qu’il n’en est rien. 

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La suite de cet article du jeudi 08/04/2010 de Laurent Dandrieu est à lire directement sur le site de Valeurs Actuelles, en cliquant ici.

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 10:09

J'évoquais dernièrement le scandaleux dossier que le mensuel mag2Lyon a réalisé dans son numéro d'avril. On peut lire sur le site du magazine le début de l'article.

Je ne fais que relever un point, ce passage de l'article :

"L’Eglise catholique a-t-elle vraiment tiré la leçon des scandales pédophiles ? Mag2 Lyon ne s’est pas contenté des discours officiels en envoyant trois journalistes raconter à des prêtres lyonnais qu’ils avaient été abusés sexuellement dans leur jeunesse par des curés. Extrait d'un face-à-face innatendu (sic) avec l'archevêque de Lyon, Mgr Barbarin. 

Saint-Jean, Vendredi 18 h. Je débarque dans cette vénérable basilique au cœur du Vieux Lyon. Seule certitude, ici plusieurs prêtres assurent deux heures de confessions. Il y a foule. Une dizaine de fidèles recueillis attendent leur tour, debout. L’un d’entre eux m’explique que c’est Barbarin lui-même qui assure cette permanence avec plusieurs prêtres lyonnais. Pas question de me confesser. Mais je veux absolument avoir un tête-à-tête avec lui pour tester sa réaction. 18h15, il fait une pause pour venir saluer ceux qui font la queue." 

Je réécris ce que j'affirmais dans mon précédent post. C'est se moquer du monde que de parler de "face-à-face inattendu" avec le cardinal Barbarin. Les Lyonnais savent que le vendredi soir le cardinal est à l'écoute de ses fidèles diocésains dans la cathédrale. Il ne me choquerait pas de lire sur le site du diocèse de Lyon un communiqué de protestation de l'archevêché en bonne forme.

Je profite de ce post pour indiquer que ce vendredi 9 avril, à 19h, 5 ans après la mort du pape Jean-Paul II, une Messe-anniversaire sera célébrée par le cardinal Philippe Barbarin à la primatiale Saint-Jean. Cette Messe sera précédée, à 18h30, par l’adoration du Saint-Sacrement. 

 

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 09:16

 

« Rome a parlé »

 

Monseigneur Nourrichard se plaît à dire que « Rome » a parlé, et que la Congrégation pour le clergé a confirmé sa décision.

 

C'est aller un peu vite en besogne. Non la Congrégation n'a en rien confirmé sa décision, elle répond simplement que le recours de l'abbé est juridiquement rejeté. Elle ne répond absolument pas au problème de fond, à savoir l'intérêt pastoral, l'intérêt des âmes. Elle répond sur le plan purement administratif.

 

Or sur le terrain, cette décision de l'évêque d'Evreux reste insoluble :

- les fidèles ne reconnaissent pas Jean Vivien pour leur curé, ne se retrouvent pas dans sa « pastorale » ;

- et ils veulent garder leur curé, l'abbé Michel, celui qui les guide depuis plus de 20 ans, a partagé leurs joies et leurs peines, comme « le Bon Pasteur connaît ses brebis et ses brebis le connaissent » (Jn X, 11-18)

 

Monseigneur appelait au dialogue, mais un dialogue demande que l'interlocuteur écoute. Aujourd'hui les fidèles de Thiberville n'ont toujours pas été entendus. A la voix plaintive des « brebis », il ne répond jusqu'à ce jour que par l'obéissance et la menace.

 

Qu'il nous soit permis de rappeler à Monseigneur que le 23 avril 2004 et le 22 février 2007, Rome a parlé ! Nous aimerions voir le zèle intrépide d'un successeur des Apôtres dans l'application de l'instruction Redemptionis Sacramentum, rappelant l'importance de l'application rigoureuse des normes officielles dans la liturgie, et à nouveau dans l'exhortation Sacramentum Caritatis. Le silence assourdissant dans ce domaine sous-entendrait que tous les prêtres du diocèse appliquent fidèlement les directives romaines sur la liturgie et proposent à leurs fidèles LA liturgie romaine authentique... Qu'il nous soit permis d'en douter, car il suffit de quitter de quelques kilomètres le secteur de Thiberville pour être témoin du contraire.

 

Alors oui, « Rome a parlé »... mais il serait bon de ne pas écouter que ce qui arrange... Aujourd'hui l'abbé Michel donne à ses fidèles ce que le Peuple de Dieu est en droit d'attendre de son prêtre, et ces derniers ne sont pas disposés à l'abandonner ! Si Monseigneur pense que l'affaire sera réglée par décret, si Monseigneur s'en tient à l'état « administratif » du problème... alors bien loin d'une solution, nous nous trouvons dans une impasse dont il lui faudra assumer les conséquences.

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 00:19

http://www.leprogres.fr/fr/images/get.aspx?imedia=16958400

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 11:18

Dimanche 4 avril à 7h30, au matin de Pâques, tous les chrétiens d’Île-de-France ont été invités à se rassembler sur l'esplanade de La Défense pour "proclamer "Christ est ressuscité"".

 "Une formidable occasion (...) donnée d'exprimer au monde l'essentiel de notre foi commune", peut-on lire sur le blog dédié à cette manifestation. Etaient réunis des catholiques (dont le cardinal Vingt-Trois), des orthodoxes, des anglicans, des protestants, etc.

La question que je me pose : à quel moment a été prise la photographie ci-dessous ? Quelle peut être la signification d'un tel geste en liturgie oecuménique ?

http://lh6.ggpht.com/_OeNlJmh0Hto/S7s1YdwxDTI/AAAAAAAADkM/DF38F0-nRzo/s1024/_YBK0208.jpg

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 10:59

Sur son blog, Jean-Marie Colombani, ancien directeur du Monde, revient sur les derniers événements qui ont marqué l'Eglise et Benoit XVI. Un billet qui comporte un certain nombre de contradictions et une conclusion qui laisse pantois. Il faudrait qu'un jour ce petit monde médiatique comprenne bien que l'Eglise ne se fait pas ni ne se fait au gré du sens du vent. XA

 

La faiblesse politique de Benoît XVI

Ce week-end de Pâques a été dominé par la polémique sur l’attitude de l’Eglise catholique à l’égard des prêtres pédophiles. Pâques est traditionnellement le point culminant de l’année religieuse pour les catholiques. Leur Eglise traverse une crise multiforme à laquelle se sont ajoutées des polémiques récentes, visant le pape lui-même et qui sont de nature à aggraver
ces difficultés. Comme toujours, lorsqu’une institution est attaquée, elle cherche à s’abriter soit derrière la théorie du complot, soit derrière la dénonciation de l’« acharnement » médiatique (défense à laquelle un prédicateur mal inspiré a ajouté une comparaison fâcheuse avec l’antisémitisme). En l’espèce, il y a, dans cette crise particulière, une part injuste et une part compréhensible dans ce qu’elle vise le pape lui-même. Injuste, car Benoît XVI est celui qui, le premier, a fait face avec constance et fermeté à la question de la pédophilie des prêtres. Question dont il s’était saisi avant son élection et qui l’a conduit ensuite à convoquer les évêques américains lors de son voyage aux Etats-Unis, puis, à Rome, les évêques australiens, et enfin le clergé irlandais auquel il a été rappelé, d’une part, que la pédophilie est un crime et que, d’autre part, les coupables doivent être jugés par la justice des hommes?; qu’il ne convient donc plus de les protéger mais bien de les dénoncer. La part compréhensible dans la focalisation contre Benoît XVI vient du rappel dans le New York Times que, lorsqu’il était lui-même évêque en Allemagne, il avait sans doute participé d’une attitude générale de l’Eglise, qui était le secret et les arrangements. Or des événements graves, datant d’il y a une trentaine d’années, et qui avaient eu lieu dans son propre diocèse, ont été récemment dénoncés. D’une façon générale, cette crise et sa très mauvaise gestion médiatique attirent l’attention sur la faiblesse politique de l’actuel pontificat. Il est vrai que Benoît XVI succède à la figure prophétique de Jean-Paul II. Il est vrai aussi qu’il a été choisi par le collège des cardinaux parce qu’il était âgé au moment de son élection?; et parce que les cardinaux ont considéré qu’il faudrait à l’Eglise beaucoup de temps pour digérer le pontificat prolifique de Jean-Paul II. Et qu’il leur fallait donc un pape de transition. C’est sans doute là que réside l’erreur. Car si l’on fait l’inventaire des urgences auxquelles l’Eglise doit faire face, qui vont des massacres de chrétiens dans certains pays musulmans à l’explosion des sectes de toutes sortes se réclamant du christianisme, on peut se demander si la figure du pur intellectuel exclusivement préoccupé de théologie qu’est Benoît XVI était bien adaptée.

Jean-Marie Colombani

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7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 09:21

Sous prétexte de soutien à l'économie locale, l'Irlande cède petit à petit...

 

AFP - 02/04/2010 à 17h11

Les pubs de Limerick, l'une des plus importantes villes d'Irlande, ont été autorisés à ouvrir un Vendredi saint pour la première fois depuis 83 ans grâce à l'engouement des Irlandais pour le rugby qui l'a l'emporté sur une loi interdisant l'ouverture des pubs ce jour-là

Depuis une loi datant de 1927, les pubs de la très catholique Irlande n'ont pas le droit d'ouvrir en ce jour solennel où les chrétiens commémorent la crucifixion de Jésus. Jusqu'à cette année, du moins.

La confrontation à guichets fermés des deux plus importantes équipes de rugby du pays et ex-championnes d'Europe --Munster et Leinster-- vendredi au stade de Thomond park à Limerick (sud-ouest de l'Irlande) a modifié la donne.

Les propriétaires de pubs de cette ville située au coeur de l'Irlande du rugby et qui abrite les plus fervents supporteurs de l'équipe de Munster, ont obtenu de la justice une exemption à la législation pour pouvoir profiter de la manne financière des dizaines de milliers de fans du ballon ovale qui ont afflué dans leur ville.

Lors d'une audience le mois dernier, une centaine de "publicans" ont estimé que ce match pourrait injecter 7,5 millions d'euros dans l'économie locale, durement touchée par la récession en Irlande.

Cette exemption est considérée comme un événement marquant et aurait été inimaginable il y a encore quelques années lorsque la puissante église catholique d'Irlande --actuellement affaiblie par un scandale sur des abus sexuels sur enfants commis par des prêtres pendant des décennies-- imposait la conduite à suivre.

Après le feu vert de la justice, des T-shirts ont été vendus arborant le slogan: "Officiellement plus fort que l'église catholique. Le Vendredi saint du rugby de Munster".

Jerry O'Dea, président de la Vintners Federation de Limerick, qui représente les propriétaires de pubs de la ville, a estimé qu'il s'agissait d'une victoire "de bon sens".

Le journaliste chargé des questions religieuses pour le Irish Independent et responsable de l'Institut Iona qui défend les valeurs catholiques, David Quinn, a écrit vendredi: "Avec l'église sur les genoux, même les propriétaires de pubs prennent part à la curée".

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 21:49

Nous parlons trop de Golias. J'en suis certain.

Mais quand ce torche-fesses s'en prend au milieu catholique traditionnel, il est difficile de ne pas réagir. C'est notamment le cas dans cet ignoble "article" pondu par les sbires de M. Terras, qui a pour titre "La pédophilie du clergé en sourdine". Bon an mal an, ces salopards de Golias (je ne trouve pas d'autre nom) s'en prennent au clergé Tradilandais, et à ses ouailles, en sous-entendant que nous pourrions nous taire tout en "sachant". 

Il y a quelques années la Conférence des Evêques de France avait jugé opportun de condamner cette revue. Il me semblerait opportun de renouveler publiquement et médiatiquement cette condamnation. Cela ne fera de mal à personne. Au moins quand même nos concitoyens pourront-ils savoir que lorsque les medias nous présentent Monsieur Terras comme un analyste sérieux, ils se moquent de nous sinon d'eux-mêmes.

XA

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 19:43

http://www.monde-vie.com/images/une825.gif

 

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