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1 juillet 2008 2 01 /07 /juillet /2008 14:04

Rendez-vous ce matin chez le gynécologue. C'est l'échographie du troisième mois. Naissance prévue pour le 14 janvier prochain. Ne me demandez pas si ce sera une fille ou un garçon. On ne peut pas le savoir à ce moment précis de la grossesse. Et puis ensuite, a priori, nous ne demanderons pas...

La gynécologue m'a laissé une sale impression. Je l'ai plainte de faire son travail dans de telles conditions.

Après l'échographie, qui révéla un bébé en bonne santé (merci, mon Dieu), nous retournons dans son bureau. Et là, la question tombe.
_ "Vous avez pris rendez-vous pour la prise de sang ?"
_ "Pardon ?"
_ Vous avez pris rendez-vous pour la prise de sang ?"
_ "Ah... la prise de sang... Non, non..."
_ "Vous avez quel âge ?"
_ "38 ans"
_ "Ouh la la... 38 ans... ouh la la... il faudrait y penser..."
_ "Oui, mais nous n'en avons même pas parlé..."
_ "Il faut y penser. Bon, l'échographie n'a rien révélé d'anormal. La nuque est bonne. Mais à 38 ans, il y a des risques..."

La discussion se poursuit, sur un ton courtois et posé. Je n'ai guère eu envie de faire de vagues. Et puis soudain.

_ "Notez bien que si vous engagez le processus, cela n'a de sens que si vous envisagez une interruption de grossesse au cas où l'on suspecterait une Trisomie 21."
_ "Ecoutez, nous allons en discuter..."
_ "Vous avez 38 ans, ce n'est pas comme si vous en aviez 20... Et puis bon, vous avez 4 enfants. Il faut aussi penser à eux, qui n'ont rien demandé. Si jamais vous aviez un enfant trismoique, le jour où vous ne serez plus là, ce serait une charge pour eux."

Odieuse bonne femme. Quelle misère d'effectuer un tel et beau métier avec une si petite idée de sa fonction. 

Deux minutes plus tard, elle résistera fortement à ma suggestion de prolonger l'arrêt de travail de mon épouse, aide-soignante dans un pavillon de gériatrie (poids moyen des patients : 90 kgs), en usant d'arguments plus moralisateurs les uns que les autres : "Attention ! vous êtes en arrêt - maladie ! Respectez bien les horaires de sortie ! Les médecins du travail ne plaisantent plus ! Ils contrôlent de plus en plus. Et là, c'est vous et moi qui aurons des problèmes si vous ne respectez pas ces horaires..."

Quelle curieuse vision de sa fonction dans la société, mon Dieu...

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1 juillet 2008 2 01 /07 /juillet /2008 10:15

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26 juin 2008 4 26 /06 /juin /2008 22:42
 Les lignes qui suivent sont celles d'un liseur de la première heure du Forum Catholique auquel je dois beaucoup. C'est bien volontiers que je vous livre ce conte. XA
___________________________________________________________________

Entre vignes et abricotiers, dans cette belle vallée inondée de soleil, à quelques pas seulement du séminaire qu’il a fondé, le grand Prélat se promène.

 

Voici quelques mois, il a sacré 4 évêques sans mandat pontifical et a subi la plus grave des condamnations : l’excommunication. Dans quelques mois, il s’en doute bien, ces mots de Saint Paul seront inscrits sur sa tombe « Tradidi vobis quod et accepi ».

 

La terrible sentence qui l’a frappé ne le fait pas trembler, malgré la certitude de son imminent retour vers le Juge qu’il a toujours servi avec amour et fidélité.

 

Ce qu’il ressent n’est pas arrogance ou orgueil. Son âge avancé n’a pas altéré son jugement. Son geste, lors des récents sacres, fut uniquement et totalement guidé par son incommensurable amour de l’Eglise. Cette Eglise qu’il aime par-dessus tout et que la crise moderniste déchire de toutes parts.

L’amour de Dieu, de son Eglise et des âmes. Un amour absolu, inconditionnel, qui brûle tout son être. Voilà ce qui l’a conduit à accepter cette terrible sentence de l’excommunication.

 

Tout en marchant, l’Evêque y pense avec gravité. Jamais, il n’aurait pensé qu’une telle chose soit possible. Jamais, durant toutes ces années où il fut jeune prêtre, évêque, archevêque, Légat du pape, Supérieur Général des Spiritains, Fondateur et Supérieur de la Fraternité St Pie X, jamais il n’aurait pu imaginer qu’un jour il doive accepter la peine ecclésiale la plus sévère qui soit par amour de l’Eglise.

« Excommunication » le mot le fait frémir. Il pense à ses parents qui étaient des saints. Si on leur avait dit qu’un jour leur fils, évêque, serait excommunié !

Il avait maintes fois retourné la question dans son esprit avant de procéder aux sacres, mais, malgré la terrible frayeur qui l’habitait devant la gravité de cette extrémité, il avait décidé d’accepter et d’offrir ce sacrifice pour le bien de l’Eglise, de la messe, des prêtres et du sacerdoce et pour le salut des âmes.

Le Seigneur qui sait tout considérera à sa juste valeur un acte que les hommes jugent avec si peu de clairvoyance.

 

Le Prélat s’arrête un instant et contemple ce magnifique paysage alpin auquel il s’est tant attaché.

Il plonge sa main dans la poche de sa soutane pour y saisir son chapelet et murmure en se signant : « In Nomine Patris et Filii et Spiritus Sancti ».

 

C’est alors que la voix se fait entendre.

 

« Votre décision fut la bonne Monseigneur et votre sacrifice portera du fruit. Grâce à vous, de nombreuses âmes seront sauvées par la grâce du sacerdoce et de la messe que vous aurez sauvegardés. Dans vingt ans déjà, le pape en personne rétablira le droit de cité du vénérable Rite de Saint Pie V. Un cardinal le célébrera au grand jour, à Rome, en la Basilique Sainte Marie Majeure. De nombreux Evêques de par le monde célébreront la messe, la confirmation et les ordinations de la façon que vous l’avez toujours fait. Des paroisses personnelles seront érigées, réservées exclusivement à l’ancien Rite. De nouvelles communautés traditionnelles seront fondées sous la protection du Vatican. Le pape de ce temps-là, malgré la haine et les critiques, affirmera officiellement que tous les prêtres ont le droit de célébrer la messe traditionnelle, sans même devoir en demander la permission à leurs évêques ou à leurs supérieurs religieux. »

L’évêque écoute paisiblement. Son visage est impassible et pourtant, une larme perle au coin de ses yeux clos.

« Deo gratias !» dit-il dans un grand soupir.

 

- « La crise de l’Eglise sera donc terminée dans vingt ans ? » demande-t-il incrédule, sans ouvrir les yeux et en serrant fortement son chapelet dans sa main droite.

- « Malheureusement non, Monseigneur » répond la voix. « Vingt ans, c’est si court et la crise est si profonde. Les désastres qu’elle a entraînés seront encore présents et visibles, partout ! Il faudra encore du temps, plusieurs générations, pour qu’Elle retrouve le visage qui fut le sien. Mais, dans vingt ans, grâce au courage d’un pape que vous connaissez et pour lequel vous avez beaucoup prié, les choses commenceront à changer. En réalité, à ce moment-là, les armes seront rendues aux soldats qui souhaitent servir Notre Seigneur Jésus-Christ. »

- « La Fraternité que j’ai fondée, voilà la milice dont l’Eglise pourra se servir pour cette grande bataille » reprend l’Evêque, fièrement.

 

La voix ne répond pas. L’Evêque attend, longtemps, puis questionne :

- « Elle restera fidèle n’est-ce pas ? »

 

La voix se tait un instant, puis répond :

  • « Oui, jusque-là, elle restera dans le droit chemin que vous lui avez indiqué. Mais, lorsque le pape l’appellera, elle refusera d’accéder à sa demande ! »

  • « Mon Dieu ! » frémit l’Evêque, « ce n’est pas possible ! Elle aura certainement une bonne raison pour expliquer ce refus ? Quelle est-elle ? La messe ? »

  • « Je viens de vous dire qu’elle sera alors totalement libéralisée par le Saint Siège. »

  • « Alors les autres sacrements ? »

  • « Autorisés également, dans leur intégralité et selon l’antique forme. »

  • « Ses évêques, voilà certainement la raison. »

  • « Reconnus comme tels et réhabilités, ainsi que votre mémoire à condition que l’accord proposé par Rome soit signé. »

 

Le Prélat réfléchit un instant puis reprend :

  • «  L’obligation de célébrer la nouvelle messe ou, pour le moins de concélébrer occasionnellement ? »

  • « Point d’exigence non plus de ce côté-là. La faculté de ne célébrer que la messe de toujours est acquise. »

  • « Une forme canonique inadéquate et réductrice qui empêcherait la Fraternité de continuer son œuvre ? »

  • « Une administration apostolique mondiale, sans avoir à rendre de comptes aux ordinaires locaux. »

  • « L’obligation de professer les erreurs du concile notamment sur la liberté religieuse, la collégialité et l’œcuménisme. »

  • « Non, Monseigneur, aucun engagement sur ces questions non plus. »

  • « Mais alors…. » soupire l’Evêque incrédule. « Je ne puis le croire. J’ai pourtant demandé explicitement à mes jeunes évêques d’aller remettre leur épiscopat dans les mains du Vicaire du Christ lorsque les choses auront changé. Et, selon ce que vous dîtes, il semble bien que, dans vingt ans, ce changement aura véritablement eu lieu. »

  • « En effet Monseigneur. Mais les responsables de la Fraternité en voudront encore plus, toujours plus. Ils auront pris l’habitude de n’écouter que leur propre jugement et, fondamentalement, ils auront perdu confiance en l’Eglise. »

  • « Quel malheur ! Ne leur ai-je pourtant pas montré l’exemple? N’ont-ils pas vu mon indéfectible attachement à Rome ? N’ont-il pas senti à quel point cette séparation me faisait souffrir ? N’ont-ils pas compris que dans les circonstances actuelles je n’ai pas d’autres choix… Mais que dans vingt ans, avec les extraordinaires changements que vous me décrivez, tout sera différent ? »

  • « Vos successeurs attendront que l’Eglise redevienne uniquement, totalement, exclusivement traditionnelle pour rentrer au bercail… »

  • « Elle ne l’a jamais été ! » coupa l’Evêque  « Et, ce faisant, ils prendront le tragique risque de ne jamais revenir. Ils trahiront mon œuvre et ma volonté. Je ne puis le croire ! C’est pour cette bataille, pour le combat de sauvegarde de l’Eglise, en son propre sein, que j’ai fondé la Fraternité. Je n’ai jamais voulu fonder une petite église séparée, quand bien même professerait-elle la foi catholique. Ils doivent bien le savoir, tous ceux qui me sont proches le savent ! Alors certes, j’ai dû accepter l’inconcevable, l’excommunication, mais dans un contexte particulier. Mais avec ces changements…. »

  • « Ils les estimeront insuffisants. »

  • « Mon Dieu ! Venez-leur en aide ! Faites-leur comprendre que dans les conditions que vous m’expliquiez ils devront se mettre à la disposition du pape et de l’Eglise, en reconnaître l’autorité et certes, continuer le combat, mais de l’intérieur. C’est là qu’ils porteront du fruit, là qu’ils seront véritablement utiles, là qu’ils serviront Notre Seigneur Jésus-Christ et qu’ils participeront au salut des âmes. »

 

L’Evêque fit silence et reprit son chemin en égrainant son chapelet.

 

Lorsqu’il l’eut terminé, il demanda :

  • « Que puis-je faire pour éviter cela ? »

  • « Ce que vous étiez en train de faire Monseigneur, prier et faire prier ! »

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 12:25

du Choc du Mois pour son article où il cite ce modeste et embryonnaire blog.

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 11:48
Lisu sur le site du Figaro :

« Ici, on paie encore en francs ! »

Par Cyril Hofstein
20/06/2008
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Cela fait combien en francs dix baguettes de pain » ? Alors que plus de 316 millions de personnes en Europe utilisent l'euro pour effectuer leurs achats quotidiens, à Collobrières (83), village de 1 650 habitants niché aux portes de l'arrière-pays varois, à une quarantaine de kilomètres de Hyères, les francs ont refait leur apparition chez les commerçants depuis le 1er avril dernier.

« Au début, les gens ont cru à une blague », raconte en souriant Nathalie Lepeltier, présidente de l'association des artisans et commerçants du village où elle est boulangère. « J'ai eu l'idée de redonner cours aux francs en regardant un reportage télévisé sur la commune du Blanc, dans l'Indre, première de France, à l'époque, à remettre le franc au goût du jour. Pourquoi pas nous ? me suis-je dit, convaincue que cela pourrait donner un coup de fouet aux commerces du village. » Très vite, la boulangère prend contact avec la Banque de France et la chambre de commerce et d'industrie du Var, qui lui donnent leur feu vert pour l'opération au moins jusqu'à la fin de l'année 2008. Puis la quasi-totalité des commerçants de Collobrières lui emboîte le pas. Et cela rapporte. « Je n'aurais jamais pensé que cela marcherait à ce point-là. On a même vu des Allemands faire exprès le voyage pour venir chez nous », s'amuse André Vargin, le mari de Nathalie.

Un à un, les bas de laine du département se vident. Au moins 120 000 francs ont été dépensés dans le village depuis avril. Le principe est simple : les clients qui le souhaitent payent en francs et les commerçants leur rendent la monnaie en euros ou en produits équivalent aux sommes reçues. Partout dans les magasins, des tables de conversion pour bien rendre la monnaie ont été affichées, tandis qu'une immense banderole à l'entrée du village proclame : « Les commerçants de Collobrières vous accueillent en centre-ville pour vos achats en francs. »

Ni rebelles ni nostalgiques, les habitants ont simplement décidé de profiter de l'aubaine pour faire connaître leur commune et dynamiser l'économie locale. « On accepte exclusivement les billets de 20, 50, 100, 200 ou 500 francs, pas les pièces, explique Marie-Laure Cayol, patronne de la fabrique de marrons glacés, produit phare du village jusqu'ici plus connu pour sa fête de la châtaigne que pour le retour des francs.

L'ancienne monnaie à nouveau reine

« Franchement, je suis sidéré par tous les francs encore en circulation, s'étonne Jean-Louis Nonque, marchand de produits régionaux. Je pense que certains ont gardé des billets par nostalgie ou par crainte que l'euro disparaisse. En tout cas, c'est incroyable. »

Avec les beaux jours, l'opération s'étoffe et les habitants du village, même les plus sceptiques, attendent désormais avec impatience les promesses de l'été, les billets oubliés ou les magots cachés. « Mais attention, prévient Nathalie Lepeltier, nous ne sommes pas une banque et nous n'avons pas l'intention de blanchir de l'argent. Les achats doivent rester raisonnables, pas question d'acheter un sachet de marrons glacés ou une baguette avec un billet de 500 francs ! »

Ce n'est pas la première fois en France qu'une telle initiative voit le jour : Le Blanc (36), la pionnière, Blaye (33), Sainte-Sigolène (43), Livarot (14), Le Perreux- sur-Marne (94), Le Cateau-Cambrésis, Denain, Gravelines (59), Rive-de-Gier (42), Les Abrets (38)... ont tous réalisé des opérations ponctuelles similaires et rencontré une réussite déconcertante, certaines communes ayant récupéré près de 300 000 francs en quelques mois... Un succès qui, à l'image de celui de Collobrières, fera peut-être de nouveaux émules

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 10:39

Le site InfoCatho en est encore tout bouleversifié. Ce site qui est hébergé "par les services informatiques de la Conférence des évêques de France auxquels (il apporte sa) contribution éditoriale par les homélies dominicales, la biographie quotidienne des saints, la recension de "nominis", la documentation liturgique, etc ..." entend "témoigner de la vie de l'Eglise sur les cinq continents". Un petit bijou que ce dernier article consacré à la Communion à genoux ou debout. C'est toujours un régal que de lire ces lignes inquiètes de ces catholiques qui n'hésitent pas à appeler au secours les Pèrrrrrrres de l'Eglise, lorsque cela semblerait les arranger.


A GENOUX, DEBOUT... QUELQUES MISES AU POINT

Lors de la messe que Benoît XVI a célébrée le dimanche 15 juin à Brindisi, les fidèles qui ont reçu la communion de ses mains ont été invités à s’agenouiller. Les autres prêtres distribuant la communion ce jour-là le faisaient aux fidèles debout.

Depuis la nomination, en octobre dernier, du nouveau maître des cérémonies pontificales, Mgr Guido Marini, les liturgies présidées par Benoît XVI ont pris un tour plus traditionnel, avec la réapparition d’ornements liturgiques du XIXème et du début du XXème siècle.

Ce retour de
Benoît XVI à un style liturgique qui est moins en usage depuis la rénovation liturgique impulsée par Vatican II, provoque des réactions inquiètes de la part de la majorité des fidèles. D'autant que ce rite liturgique "à genoux" n'est pas dans la tradition. Les Pères de l'Église recommandent la communion debout, en signe de la Résurrection et l'ensemble des Églises orientales, qu'elles soient catholiques, orthodoxes ou pré-chalcédonniennes y sont très attachées en raison même de son sens théologique.

Au Saint-Siège, on tient à minimiser cet événement de Brindisi, en soulignant que les autres prêtres distribuant la communion ce jour-là le faisaient aux fidèles debout. "Il y a différentes façons de recevoir la communion", rappelle-t-on. C’est ce que précise la Présentation générale du Missel romain latin : "Les fidèles communient à genoux ou debout, selon ce qu’aura établi la Conférence des évêques."

Mgr Guido Marini devrait prochainement faire une mise au point sur ce sujet.

En fait, pour commenter ce geste de Benoît XVI, la presse "générale", peu au courant de la liturgie, a repris une déclaration faite en février par Mgr Malcolm Ranjith, secrétaire de la Congrégation pour le culte divin, sur le site Internet traditionaliste Petrus : "Je suis convaincu de l’urgence du réexamen de la pratique de la communion donnée dans la main, du retour de la distribution de l’hostie aux fidèles directement dans la bouche, sans qu’ils la touchent."

Le point de vue de celui qui est le numéro deux de la liturgie au Vatican a été attribué un peu rapidement par certaines agences comme étant le point de vue du Pape.

Mgr Ranjith parlait en son nom personnel, commentant les paroles du Pape le 22 mai : "
Nous, chrétiens, avait-il expliqué dans son homélie consacrée à l’adoration eucharistique, nous nous agenouillons seulement devant le Saint Sacrement parce que, en lui, nous savons et croyons être en présence de l’unique et vrai Dieu."

Le Pape n’avait alors absolument rien dit, ni ce jour-là ni à quelque autre moment, quant au mode de communion (dans la bouche ou dans la main, debout ou à genoux). On tient à le souligner au Vatican [sic]. (information : Service de presse du Vatican [re-sic] )

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 10:04
 Lisu sur le site de l'agence APIC.

Londres, 20 juin 2008 (Apic) La Communion anglicane mondiale se trouve clairement devant une division. Selon le quotidien "Daily Telegraph", la séparation avec la tendance libérale de l'Eglise anglicane est déjà annoncée dans un document de l'aile conservatrice, qui regroupe près de la moitié des fidèles dans le monde.

L'Eglise se trouve dans sa plus profonde crise depuis la Réforme, affirment les auteurs du document. Il n'y a "plus aucun espoir" d'unité avec l'aile libérale de la communauté, qui accepte des prêtres homosexuels dans l'Eglise, a écrit, selon le "Daily Telegraph", l'archevêque nigérian Peter Akinola, porte-parole des anglicans conservateurs. Ajoutant: "Nous nous trouvons maintenant devant un moment décisif". Ce point de vue est également partagé par l'évêque Michael Nazir-Ali, de Rochester en Grande-Bretagne, pour qui une séparation est inévitable et les fractions irréconciliables.

L'aile séparatiste est surtout représentée par des responsables ecclésiaux d'Afrique et d'Asie. Elle représente environ la moitié des quelque 78 millions d'anglicans répartis dans le monde. Les points de division touchent également l'accès des femmes à la prêtrise et à l'épiscopat, accepté et mis en pratique par plusieurs Eglises nationales.

Le document de 89 pages, rédigé par des évêques de haut rang, a pour titre "Le chemin, la vérité et la vie". Il est destiné à préparer une conférence, qui se déroule du 22 au 29 juin à Jérusalem et Amman, sur l'avenir de la Communion anglicane. Cette rencontre précède la Conférence de Lambeth, la plus haute instance de la Communion anglicane mondiale, qui siège fin juillet à Londres. Quelque 280 évêques anglicans ont déjà annoncé qu'ils allaient boycotter ce rassemblement, pour participer à la conférence alternative de Jérusalem.

C'est en 2003 que la mèche a été allumée avec la nomination du Révérend Gene Robinson, un prêtre ouvertement homosexuel, comme évêque épiscopalien dans le New Hampshire aux Etats-Unis. (apic/kna/ak/bb)

20.06.2008 - Apic

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 08:20
Lisu sur le site d'un collège en rubrique "Nouvelles des Anciens" :

Notre premier 3° est en terminale S à XXX. Nous lui souhaitons bon courage pour obtenir le baccalauréat.

Trop bon...
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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 10:02

Lisu dans Lyon Mag daté de juin 2008, n°181, p.19.

Une nouvelle église va être construite à Vaulx-en-Velin, à l’angle de la rue Cuzin et de l’avenue Pablo-Picasso, d’ici 2011. Sur une surface totale de 1000 m2, cette église catholique qui prendra le nom de Saint-Thomas disposera de 450 places mais aussi de bâtiments annexes comme un oratoire et des salles paroissiales. C’est le collectif d’architectes lyonnais Siz’-ix qui a remporté l’appel d’offres parmi vingt candidats, ayant conçu une église à l’architecture résolument moderne, avec quelques touches de couleurs. Coût du projet : 2,5 millions d’euros.

A noter que deux autres lieux de culte vont être construits à Vaulx-en-Velin : un temple protestant dans le quartier de la Soie, qui sera inauguré en septembre, et une mosquée au Mas du Taureau.

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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 09:10

Lisu sur le site du diocèse de Besançon :

Bonjour,
Tu es jeune, lycéen(ne), étudiant(e), jeune professionnel(le), jeune marié(e) ?
Nous avons plein d'activités à te proposer :
Messes du mardi soir :
Organisée par l'Escale Jeunes
Messes "redécouverte" :
Organisée par la Pastorale des Jeunes du doyenné de Besançon
Le premier et troisième samedi du mois à 18h.
Aumônerie des lycées :
(Aumônerie de l'Enseignement Public des lycées de Besançon)
Les mercredi, tous les 15 jours, entre 17h30 et 20h30. Thèmes de réflexion et d'échanges : partager sa vie, sa foi, prier, vibrer, rencontrer, manger, rire...
Nous assurons aussi des permanences dans les lycées. Pour en savoir plus, va voir sur www.aepb.net
Aumônerie étudiante :
Des rencontres à l'Aumônerie étudiante les jeudi soir (tous les 15 jours) à partir de 19h, avec pic-nic, prière, partage, réflexion, échanges et rigolades !
Groupe de prière de l'Emmanuel :
Tous les lundi à 20h30 !
Groupe Jeunes Professionnels :
Le Vendredi à 19h (rencontres mensuelles)
Groupe "Jeunes couples chrétiens d'aujourd'hui" :
Le Vendredi à 20h15 (rencontres mensuelles)
L'Escale Jeunes, c'est aussi une communauté composée de :
8 jeunes (4 gars, 4 filles), 3 prêtres, 1 couple


Pour mieux connaître l'Escale jeunes, n'hésitez pas à faire un tour ici.

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