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7 juin 2008 6 07 /06 /juin /2008 10:46

Le numéro 796 de monde & vie vient de paraître, daté du 7 juin 2008. C'est Jean-Marie Molitor, déjà directeur de Minute et du Choc du mois, qui assure désormais la direction de la publication et de la rédaction. Olivier Pichon y signe donc son dernier éditorial "Savoir partir", dont le Salon Beige publiait dernièrement quelques extraits.




A noter plus particulièrement dans ce numéro de juin les trois articles de la rubrique Religion :

- Savants fous cherchent ovocytes désespérément, par le docteur Jean-Pierre Dickès
- Un entretien avec M. l'abbé Grégoire Célier (Fraternité Sacerdotale Saint Pie X) autour de la situation de la Fraternité à Amiens
- Un entretien avec Christian Marquant, fondateur du Mouvement de la Jeunesse Catholique de France (MJCF) et animateur aujourd'hui de l'association Paix Liturgique.

Longue vie à monde & vie et bonne continuation à Olivier Pichon !

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7 juin 2008 6 07 /06 /juin /2008 08:20
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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 20:29

Une regrettée liseuse du Forum Catholique, Nicole, avait lancé un petit et sympathique questionnaire en novembre 2003, questionnaire ayant pour objet de mieux connaître les liseurs du forum. Ce questionnaire a été enrichi au fil du temps. Il mériterait que les liseurs ayant rejoint les FC en 2007/2008 y répondent. Une façon sympathique de mieux se connaître entre internautes.
A suivre en cliquant ici.

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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 14:14

Lisu sur le blog d'Yves Daoudal :

Le tribunal correctionnel de Carpentras interdit l’appellation « Enclave des Papes » pour les vins produits dans l’enclave des papes, autour de Valréas.

Plus de détails en cliquant ici.

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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 13:53

Le quotidien Présent lance un nouvel appel à ses lecteurs. On peut - on a le droit de - ne pas être un inconditionnel de ce journal. Chacun a la possibilité de se faire sa propre opinion. En revanche on ne saurait rester insensible au message d'aujourd'hui, dès lors que l'on est soucieux de disposer encore d'une presse libre qui ne dépende pas des recettes publicitaires.

Pour se faire une idée, on pourra lire le mot de Jeanne Smits, à la Une du journal daté de demain, samedi 7 juin 2008, en cliquant ici.

Dans le même numéro 6605, on peut lire aussi une réponse concernant la possibilité d'abonnement au journal par internet. On en trouvera copie ci-dessous.

Certains se lassent sûrement de devoir lire régulièrement ces appels de Présent. Mais le meilleur moyen de ne plus avoir à les entendre n'est-il pas encore d'y donner suite et de rester ensuite fidèle ?
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Et alors, « Présent sur Internet », ça vous rapporte ?

Oui ! Mais moins que nos abonnements classiques sur papier.

 Nous avons calculé le prix au plus juste pour faire bénéficier nos lecteurs sur la Toile des économies de papier, d’impression et d’envoi qu’ils nous permettent de réaliser en consultant Présent de manière virtuelle. Mais en retenant ce calcul (qui permet, pour l’instant, de maintenir le tarif à 17 euros par mois) nous prenons en quelque sorte à notre charge la plus grosse part de la TVA.

Celle-ci est fixée à 19,6% pour les ventes et abonnements en ligne, à 2,2% seulement lorsque le journal est vendu sous sa forme « matérielle ». Autrement dit, un abonnement sur internet représente un manque à gagner.

Nous savons parfaitement, cependant, que beaucoup de lecteurs « en ligne » choisissent cette formule par esprit ou devoir d’économie, et qu’ils sont nombreux à être jeunes : un public que nous devons toucher… ou mourir.

Impossible, donc, d’augmenter trop le prix du journal précisément sur un média où tout semble gratuit… Sous peine de rendre Présent trop cher pour eux.

En résumé : si vous êtes abonnés à Présent par abonnement postal et que vous préférez basculer sur le « Web », pas de problème… mais pensez à participer de temps en temps, si vous le voulez bien, à notre souscription permanente, pour compenser la perte !

Si vous abonnez ou faites abonner un nouveau lecteur, alors là, pas de scrupules ! Avec quelques centaines d’abonnés nouveaux, le manque à gagner serait largement compensé. Tout comme avec un millier d’abonnés « classiques » nouveaux, Présent serait tiré d’affaire et nous pourrions véritablement nous mettre au travail pour rendre possibles les développements nécessaires.

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6 juin 2008 5 06 /06 /juin /2008 07:02

On célébrait hier, jeudi, les obsèques des sept collégiens décédés lundi dans l'accident de leur car scolaire, et celles du célèbre couturier Yves Saint-Laurent. M. Sarkozy avait un choix à faire pour être présent au cours de la messe de funérailles. On retiendra qu'il a opté pour l'événement people, en restant à Paris et en se rendant avec Madame à l'église saint-Roch, laissant le Premier Ministre français, M. Fillon, se rendre en Haute-Savoie. Le résumé d'un quinquennat déshonorant.

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5 juin 2008 4 05 /06 /juin /2008 14:07

par Jean-Pierre Denis
in La Vie n°3275 daté du 4 juin 2008

 

C’est l’histoire d’un pays dont l’école publique va mal. Elle s’est démocratisée, mais sans réduire les inégalités ni donner à chacun sa chance. Elle ne fait guère de place à l’initiative tout en subissant les assauts de l’individualisme. Elle oriente à l’aveuglette, par accumulation d’échecs ou par recours à des filières prétextes et à des sélections occultes. Elle a renoncé à la dimension instituante de l’autorité sans vraiment permettre à la personne humaine de s’épanouir.
Tout le monde le sait, mais chut ! Il ne faut pas le dire. L’école républicaine absorbe tous les chocs, toutes les déconstructions, toutes les violences de notre société, et on lui demande tantôt de les guérir, tantôt de les comprendre, tantôt de s’en justifier comme si elle en était la cause première. Face à ces immenses défis, elle s’est vue dotée d’un budget extraordinaire, fortement augmenté au cours du dernier quart de siècle, mais elle ne l’affecte guère là où sont les pauvretés criantes. Elle envoie ses professeurs les moins expérimentés sur les terrains les plus ingrats. Elle ne sait plus vraiment, à force de les empiler, quels contenus elle veut transmettre. Plus elle jargonne, plus elle ignore les valeurs qui la fondent.
Ce pays caricatural, bien sûr, ne peut être la France. Ni cette école celle que nous connaissons… Celle de Laurent Cantet, le cinéaste qui a obtenu la palme d’or à Cannes pour être allé «entre les murs» d’un collège ordinaire, creuset de la diversité et pépinière de l’intelligence collective. Ni celle de tous ces enseignants héroïques, mais souffrant d’appartenir à un corps toujours soupçonné, socialement déclassé, et toujours attendu au tournant par des parents devenus des consommateurs. Que se passe-t-il donc «entre les murs» du débat sur l’école ? Un grand trop-plein qui se mue en un grand rien. L’excès de postures idéologiques a tué le débat sur la pédagogie. La multiplication des réformes avortées, par chaque ministre de passage, réduit à néant l’idée même de la réforme. Mais en retour l’opposition à tout changement exténue le système lui-même, que fuient de plus en plus de parents. On ne sait plus où va l’école, ni même de quelle école on parle.
La grande réforme du lycée annoncée par le président de la République et relayée par son ministre de l’Éducation nationale semble donc bienvenue dans son ambition même, qui est refondatrice. Mais elle risque d’ajouter de la confusion à la confusion, par exemple, si elle promet davantage de choix aux élèves tout en supprimant de fait les options disponibles, ou si elle promet des enseignants mieux formés tout en fermant les IUFM. Elle ne marchera donc que si elle joue franc jeu, par un grand débat public. Si elle oublie de satisfaire un électorat pour répondre aux besoins réels du système éducatif. Si elle se précise assez pour être simple et claire. Si elle permet aux enseignants de partager les fruits d’une organisation nouvelle, comme annoncé d’ailleurs par Nicolas Sarkozy. Mais cela fait déjà beaucoup de si. En matière d’éducation, tout le monde a ses certitudes, et c’est pourquoi les doutes sur le changement affleurent vite. Le Président et son ministre devront déployer de vrais talents de pédagogue et dissiper franchement ces interrogations s’ils ne veulent pas qu’une fois encore on ait réformé l’école sans vraiment la renforcer.

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4 juin 2008 3 04 /06 /juin /2008 21:06
L'abbé Christian Delorme donne une tribune libre dans Le Monde du 4 juin 2008.
On la trouvera ci-dessous.

Après lisure, on prendra connaissance avec intérêt de la réaction de l'historien Luc Perrin, réaction que l'on peut lire sur le Forum Catholique en cliquant ici.



Non, l'Algérie n'est pas antichrétienne, par Christian Delorme

Les récents procès intentés à Tiaret contre des personnes d'origine musulmane qui ont embrassé le christianisme de tendance évangélique valent désormais à l'Algérie d'être considérée, dans les pays occidentaux, comme un pays où les chrétiens sont persécutés. Cette situation est au moins autant dramatique pour l'Algérie, dont l'image se trouve ainsi salie, que pour les chrétiens en question.

Il faut donc absolument que cette double dynamique : dégradation de la vie des chrétiens de l'Algérie d'une part, et détérioration de l'image de l'Algérie d'autre part, soit enrayée au plus vite. Car l'Algérie n'est pas une terre antichrétienne. Ses dirigeants ont eu maintes fois l'occasion, dans un passé qui n'est pas lointain, d'exprimer leur considération pour les Eglises historiquement présentes chez eux.

Ces derniers jours encore, à l'occasion d'un séminaire international consacré à l'émir Abd El-Kader qui s'est tenu à Alger les 24 et 25 mai, Mgr Henri Teissier, archevêque (démissionnaire) d'Alger, et moi-même, nous avons fait l'objet de toutes les marques d'attention de la part des autorités algériennes, à commencer par le deuxième personnage de l'Etat, le président du Conseil de la nation (Sénat), Abdelkader Bensalah. Et j'ai eu la possibilité de parler de tout cela très ouvertement et très franchement pendant une heure avec le président du Haut Conseil islamique d'Algérie, le docteur Cheikh Bouamrane.

Oui, il y a, depuis plusieurs mois, des situations qui sont révoltantes, telles l'expulsion d'un pasteur protestant présent dans le pays depuis quelque quarante-cinq ans, ou la condamnation à une peine de prison avec sursis d'un prêtre qui n'avait fait rien d'autre que de prier avec des chrétiens camerounais immigrés clandestins.

Mais ce que disent le pouvoir algérien et une partie notable de la population est également à entendre. Ce qui fait fondamentalement l'unité de l'Algérie, en effet, c'est son islamité. Là demeure l'identité profonde de son peuple. L'existence de chrétiens européens, même naturalisés algériens, ne représentait pas une menace contre cette unité et cette identité. Il n'en va plus de même quand des Algériens issus de familles musulmanes deviennent chrétiens. Car alors reviennent aux mémoires les atteintes à la culture et aux institutions musulmanes qu'ont perpétrées les conquérants coloniaux. Alors retrouvent vie les souvenirs des tentatives de détournement de l'islam qui ont été exercées au XIXe siècle sur certains groupes de la population.

Connaissant l'utilisation à son profit du christianisme évangélique que la puissance impériale américaine fait en divers pays du monde, les Algériens sont nombreux à craindre qu'existe une stratégie qui viserait à créer une minorité chrétienne dans leur pays, qui pourrait devenir un jour prétexte à des interventions militaires. Il y a certainement, derrière les difficultés faites actuellement aux chrétiens, des pressions exercées par certains Etats du Golfe ou de la péninsule Arabique, afin que l'Algérie affiche davantage son islamité aux portes de l'Europe. Mais il y a, également, ces peurs algériennes et une sensibilité particulière du peuple d'Algérie qui ne doivent pas être traitées par le mépris.

Dans cette situation, l'urgence se fait sentir d'une réflexion sereine sur la légitimité, ou non, du prosélytisme chrétien en terre d'islam. Car si l'on ne peut que défendre le droit de chaque individu à aller librement vers la foi de son choix, en revanche il peut paraître moins sûr que soient permises les tentatives de ramener à soi, par des techniques diverses, des hommes et des femmes appartenant à la foi musulmane. L'Evangile, certes, demande aux chrétiens d'annoncer le Christ, mais pas au prix du déchirement d'un peuple, pas au prix de l'engendrement de situations de violence. Ce furent, d'ailleurs, jusqu'à aujourd'hui, le "credo" et la pratique de Mgr Teissier comme du cardinal Duval, tous les deux des constructeurs de l'Algérie contemporaine.

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Christian Delorme est prêtre du diocèse de Lyon, engagé de longue date dans le dialogue islamo-chrétien.

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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 23:09

Alors qu'un lâcher de colombes [C'est à se demander s'ils ne font pas exprès, quand même...] en soutien à Ingrid Betancourt était prévu mardi au Stade de France, lors de l'entrée en jeu des deux équipes [l'équipe de France de football rencontrait ce mardi celle de Colombie au stade de France : résultat "nul" 1 à 0 pour la France, but du balafré sur pénalty], la manifestation a été annulée à la dernière minute. M. Hervé Marro, porte-parole du comité de soutien, s'est indigné de cette décision, d'autant qu'avec ses collègues, il a été contraint de retirer son T-shirt en soutien à la Française. «Nous ne voulions en aucun cas perturber le match et nous trouvons tout cela scandaleux, franchement je ne comprends pas», a-t-il protesté. Seule une petite banderole portant l'inscription «Ingrid Courage» a pu être déployée en tribunes. (Source : L'Equipe avec AFP)

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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 21:53
Ce qui est pénible, lorsque l'on rencontre des Témoins de Jéhovah, c'est qu'ils répètent toujours la même chose. Ils ressassent, ils rabâchent, ils ressassent, ils rabâchent. Bref : ils n'en sortent pas. C'est usant, c'est horrible.  J'admire ceux qui parviennent à discuter avec eux pendant des heures en tentant de les convaincre. Ils se trompent souvent en cherchant à argumenter sur leur propre terrain, c'est à dire pour ce qui les concerne en partant de la Bible. C'est un exercice difficile, parce que la Bible, souvent ils la maitrisent bien... sauf qu'ils n'ont pas tout à fait la même traduction.  C'est là le hic. Ce qui fait que le dialogue est difficile. Et rasoir. Mais rasoiiiiir. Comme ce n'est pas permis. XA
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