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16 mai 2010 7 16 /05 /mai /2010 13:49

 

 

 

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 08:58

Grâce au séminaire et à la figure du curé d'Ars, le diocèse limite le manque de prêtres. Mais comment rénover l'image de l'Église pour rassembler des brebis de plus en plus égarées ?

LE PROGRES du 15 mai 2010

Depuis le 8 mai et jusqu'au 23 mai, de drôles de paroissiens relient Ars à Belley en calèche. Des croix de bois sous les chasubles fluo et cette inscription sur la roulotte : « marche de l'Évangile ». Le soir, un clown fait rire les enfants sur le parvis, avant la messe et la veillée de prières. Parole : « si tu ne vas pas à l'église, l'Église viendra à toi ». Dieu et Lagardère, même combat.

Mission : impossible ? Comme les autres, le diocèse de Belley-Ars subit la crise des vocations. 64 curés pour 96 groupements de paroisses, c'est peu pour qui veut rassembler des brebis de plus en plus égarées. « J'ai vu des prêtres quitter le ministère parce qu'ils ne sont pas assez nombreux et que tout le poids de l'Église repose sur eux. Quant aux laïcs, ils sont souvent âgés et moins disponibles », explique le père Roger Hébert.

51 ans, originaire de Thil, cet abbé rabelaisien aurait pu jouer frère Tuck dans Robin des Bois. Ou envisager une carrière dans le foot, comme en atteste son passé de joueur et d'arbitre officiel. Ordonné en 1984, l'homme de terrain continue de pratiquer un jeu offensif. Ce qui lui vaut d'être nommé vicaire général du diocèse en 2006, en charge de l'évangélisation. À ce titre, il conduit la quinzaine de la mission.

« La crise est devenue plus aiguë dans les années 90. En France, certains diocèses n'ont pas eu d'ordinations depuis des années », dit-il. Avec trois ordinations par an, celui de Belley-Ars se garde d'une telle pénitence.

L'arrivée de Mgr Bagnard à l'Évêché et la création du séminaire d'Ars en 1988 ont évité la désaffection. « Autrefois, on accueillait beaucoup de gens sans racines, de jeunes qui avaient été refusés ailleurs. Beaucoup ont choisi ce diocèse à cause de la figure du curé d'Ars. »

Si l'Église de l'Ain pallie le manque de prêtres, son image ne s'est pas forcément améliorée sous la main de fer de Guy Bagnard. Les chrétiens d'ouverture lui reprochent son rigorisme, un repli vers la liturgie, l'adoration, la procession, initié par des cols romains trop amidonnés. Tout cela sous l'auréole du mystique Jean-Marie Vianney, son immense compassion mais aussi son ascèse doloriste, ses démêlées avec le Malin, son corps imputrescible et sa relique cardiaque. Bref, pas très « fun » et quelque peu obscur aux yeux des modernes.

« On a beaucoup exagéré le truc », estime Roger Hébert tout en reconnaissant que « cette incompréhension a abouti à une cassure avec l'Évêque ». Lequel aurait mis pas mal d'eau dans son vin ces derniers temps. « Le vrai pasteur est celui qui est capable de bouger. Si l'on ne va pas à moi, c'est peut-être à moi d'aller vers soi. » On y revient.

Au-delà de la crise des vocations, l'objet de la quinzaine de la mission est de rénover l'image de l'Église. « On a l'image qu'on se donne », affirme Roger Hébert. « Si elle est larmoyante, que l'on gémit sur nos difficultés, pas étonnant que les jeunes n'aient pas envie de nous rejoindre. »

L'évangélisation ? « Une histoire de pyromanes », selon le vicaire général. « Si nous, on n'a pas le feu sacré, comment voulez-vous que les gens s'engagent ? Comme les apôtres avaient reçu le feu du Saint-Esprit, à nous de le semer et de multiplier les foyers. »

Marc Dazy


REPERES

207 prêtres dans le diocèse de Belley-Ars. Dont 150 en activité, y compris les vicaires, aumoniers et ceux qui officient hors-diocèse.

64 curés en charge des 96 groupements paroissiaux de l'Ain.

101 projets initiés dans le diocèse jusqu'au 23 mai, dans le cadre de la quinzaine de la mission. « On a privilégié la méthode inductive » dit Roger Hébert. « Chacun a monté son projet. Miribel par exemple, privilégie l'accueil et l'explication à l'occasion de la première communion. Des jeunes de l'aumônerie de Bourg vont rencontrer ceux du skate park de la Vinaigrerie ».

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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 12:00

Le pape Benoît XVI a nommé archevêque coadjuteur de l’archidiocèse de Montpellier, Mgr Pierre-Marie Carré, jusqu’à présent archevêque d’Albi.


Biographie de Mgr Pierre-Marie Carré

 

Fils de Joseph Carré, agriculteur, et de Madame, née Rachel Auxenfants, Mgr Pierre -Marie Carré est né le 22 Avril 1947 à Serques (Pas-de-Calais)


Formation

Mgr Pierre-Marie Carré a fait ses études au Petit séminaire à Agen et à Montauban, puis au grand séminaire de Bordeaux et à l’université pontificale grégorienne à Rome. Il est titulaire d’une licence de théologie et d’une licence d’Ecriture sainte à l’Institut biblique de Rome.

Il a été ordonné prêtre le 7 septembre 1974 pour le diocèse d’Agen (Lot-et-Garonne).

Ministères

1980-1989 Supérieur du séminaire interdiocésain de Poitiers, 1er cycle.

1989-1993 Supérieur du séminaire interdiocésain de Bordeaux, 2e cycle.

1993-1995 Curé du secteur paroissial d’Astaffort (Lot-et-Garonne) et Vicaire épiscopal

chargé de la formation permanente des laïcs.

1995-1996 Vicaire général pour le diocèse d’Agen,

1996-1997 Administrateur diocésain d’Agen 

1997- 2000 Vicaire général pour le diocèse d’Agen. 

Depuis 2000 Archevêque d’Albi

 

Mgr Pierre-Marie Carré est président de la Commission doctrinale au sein de la Conférence des évêques de France.

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 14:10

Affluence à Fatima pour la visite du pape, ce n'est pas moi qui le dis mais c'est le titre de la dépêche publiée sur le site de France 2. Une dépêche où l'on apprend la nouvelle orthographe possible du mot prédécesseur. 

XA

Un "demi-million" de fidèles ont assisté jeudi à la messe célébrée par le pape Benoît XVI à Fatima

Il s'agit d'un "message" de soutien au pape, qui montre que les chrétiens "font la distinction" entre les cas pédophiles et "la très grande majorité" des prêtres, a souligné le porte-parole de l'épiscopat portugais.

Jean Paul II avait offert au sanctuaire la balle qui l'avait grièvement blessé, et qui est aujourd'hui enchâssée dans sa couronne.

 Vidéo

 


Le prédécéceur (sic) de Benoît XVI était convaincu que la Vierge de Fatima  lui avait sauvé la vie lors de l'attentat commis contre lui le 13 mai 1981 à Rome.

Selon la foi catholique, la Vierge aurait révélé aux bergers de Fatima  en 1917 trois "secrets", jugés prophétiques de l'Histoire du 20e siècle.

Si les deux premiers "secrets" étaient connus depuis le début des années 40, le troisième n'a été rendu public qu'en mai 2000 lors de la dernière visite de Jean Paul II à Fatima , la hiérarchie catholique "révélant" alors qu'il prédisait l'attentat contre le pape polonais.

Mardi, dans l'avion qui l'amenait au Portugal, Benoît XVI avait élargi l'"interprétation" de ce secret à la lumière de la crise qui secoue l'Eglise depuis le début, en novembre, de la vague de scandales pédophiles impliquant des membres du clergé, en Europe et partout dans le monde.

Le pape avait déclaré qu'"en plus de cette grande vision de la souffrance du pape", le message de Fatima  faisait aussi référence aux "réalités de l'avenir de l'Eglise qui peu à peu se développent et se manifestent".

"Il est vrai qu'au-delà (...) de la personne du pape (...), ce sont des souffrances de l'Eglise qui sont annoncées", avait déclaré Benoît XVI.

Mercredi soir, célébrant les vêpres avec plusieurs milliers de membres du clergé portugais, le pape les a appelés à rester "fidèles" à leur "vocation" et à s'"aider réciproquement" à "rester debout". "Réservez une attention particulière aux situations d'affaiblissement des idéaux sacerdotaux ou bien au fait de se consacrer à des activités qui ne s'accordent pas complètement avec ce qui est le propre d'un ministre de Jésus Christ", leur a-t-il conseillé.

Benoît XVI est le troisième pape à se rendre en pèlerinage à Fatima , après Paul VI en 1967, puis Jean Paul II en 1982, 1991 et 2000.

Les pèlerins divisés sur l'impact des scandales
Les pèlerins venus par dizaines de milliers accueillir le pape au sanctuaire marial de Fatima, principale étape du voyage papal au Portugal, étaient divisés sur l'impact des scandales dans l'Eglise.

"Je crois que les scandales ont un impact sur la foi des gens, en particulier sur la confiance dans les enseignants", confiait ainsi Domingos Silva, un pêcheur de 43 ans.

 

"Je pense que la réaction du pape Benoît XVI face à ces crimes monstrueux a été trop modeste et n'a pas réussi à empêcher la crise d'atteindre l'ampleur qu'elle a pris", dit-il.

Une religieuse portugaise de 70 ans estime pour sa part que les scandales "ne devraient pas avoir d'impact sur la foi des gens" mais qu'ils peuvent porter atteinte à la réputation de l'Eglise si le problème n'est pas traité comme il convient.

"Le pardon ne remplace pas la justice"
Mardi, rompant avec la stratégie défensive suivie pendant des mois par de hauts  responsables du Vatican au sujet des scandales pédophiles, accusant tour à tour "forces" anti-chrétiennes et  médias, le pape a estimé que "la plus grande persécution de l'Eglise" ne venait pas d'"ennemis extérieurs", mais du "péché au sein de l'Eglise".

Lors d'une conférence de presse en plein ciel, dans l'avion qui l'emmenait à Lisbonne, le Saint-Père a reconnu que l'Eglise était responsable de la crise "terrifiante" provoquée par les abus sexuels, jugeant qu'elle payait, par les "attaques" et les "souffrances", pour son propre "péché".

L'Eglise a "un profond besoin" d'"apprendre le pardon et aussi la nécessité de la justice", a encore dit Benoît XVI soulignant que "le pardon ne remplace pas la justice" pour les victimes des crimes pédophiles.

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 09:21

On me prie de cathommuniquer : 
http://www.leforumcatholique.org/logos/logo_846.jpg
Troisième pèlerinage régional toscan
Samedi 29 mai 2010 
Sanctuaire de la 'Madonna di Montenero' 
Livourne (Italie)
 
************ 
Programme de la journée 

11h00 
Rendez-vous des pèlerins sur le pavé devant le sanctuaire suivi par le récit du chapelet. 

11h30 
Sainte Messe Pontificale selon le rite roman ancien (Missel 1962) 
Célébrée par S. Exc. Mgr. ENNIO APPIGNANESI 
Archevêque Emerite de Potenza, Muro Lucano et Marsico Nuovo 
sur invitation de S. Ecc. Rev.ma Mons. Simone Giusti, Evêque de Livorno 
Service liturgique assuré par l'Institut Christ Roi Sommo Sacerdote 
et les Frères Franciscains de l'Immacolata 

L'invitation à participer s’adresse également aux fidèles qui ne résident pas en Toscane. 
* * * * * 
Informations pratiques : 
- Est possible passer la nuit après de la hôtellerie du monastère contigue au sanctuaire, au pris de 25 euro la nuit (40 euro pour deux nuits). Nous vous recommandons de réserver au plus tôt en appelant au (+ 39) 3282024106. 

-Les pèlerins qui souhaitent participer au déjeuner qui aura lieu après la célébration de la messe dans les locaux du sanctuaire (prix : 16 euro par personne), sont priés de se manifester à l’adresse électronique du ‘Coordinamento’ avant le 25 mai 

-Pour plus de précisions voir 
http://coordinamentotoscano.blogspot.com/2010/05/3-pellegrinaggio-regionale-il-programma.html ou écrire à :coordinamentotoscano@hotmail.it

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 09:18

je me permets de faire remarquer aux niaiseux de Golias que L'Histoire du catéchisme de Jean Madiran est parue en 2005 aux éditions de Paris. C'est à dire, il y a cinq ans. 

Cinq ans : c’est manifestement le temps qu’il a fallu à ces nuisibles pour le lire et en publier leur analyse qui n'intéressera qu'eux. Monsieur Terras qui se prend pour un moderne est finalement un homme du passé. Quel comique. 

J'en profite, en revanche pour attirer votre attention, si nécessaire, sur la publication de "
Chroniques sous Benoît XVI" du même Jean Madiran. On y redécouvre les richesses des cinq premières années de ce pontificat qui nous aura tous marqués, d'une façon ou d'une autre. Incontournable, comme toujours avec Madiran. Plus de détails en cliquant ici

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13 mai 2010 4 13 /05 /mai /2010 09:15

Julien Dupont, c'est ce blogueur séminariste qui avait fait la grève des Rois Mages dans sa crèche. Dans un an, si Dieu veut, il sera ordonné prêtre par Mgr Albert Rouet. 

A Poitiers, deux ordinations pour l'Ascension 

 

Un père de famille et un séminariste seront ordonnés diacres par Mgr Albert Rouet, évêque de Poitiers, jeudi 13 mai 2010. Le premier deviendra diacre permanent « en vue du service » et le second diacre « en vue du sacerdoce ». Un même sacrement pour des missions différentes. 

Laurent Pérault (à droite sur la photo), 46 ans, sera le 42ème diacre permanent du diocèse de Poitiers. Marié et père de trois enfants, il est directeur des études à l'École d'ingénieurs en mécanique et aérotechnique (ENSMA) dont il est diplômé. Depuis 1988, plusieurs engagements d'Eglise ont jalonné son parcours : aumônerie des classes préparatoires d'un lycée, mission étudiante, site Internet diocésain, conseil pastoral diocésain... En mai 2005, la question du diaconat lui est posée. Il témoigne : « Après discernement et formation, nous avons Laurence et moi choisi de répondre « oui » parce que nous croyons que c'est sur ce chemin que le Seigneur nous demande de poursuivre notre route ». Si sa mission sera donnée par Mgr Rouet, évêque de Poitiers, à la fin de la célébration, il sait déjà dans quel esprit il compte l'accomplir : « Il s'agira pour moi de vivre le service des frères à travers la mission reçue mais aussi à travers la vie familiale, les responsabilités professionnelles et les engagements divers ». 

Pour Julien Dupont (à gauche sur la photo), séminariste de 26 ans, la question de devenir prêtre s'est posée vers 15 ans, après avoir découvert l'abbaye de Ligugé, « lieu de paix, de profondeur, et de vérité ». « Depuis, c'est chaque jour que j'essaye de reconnaître comment, à partir de cet « appel », j'ai pu vérifier la pertinence de ce projet de Dieu dans tout ce qui m'a été donné de vivre » explique-t-il. Lors de son ordination diaconale, le séminariste s'engagera au célibat. Il poursuivra sa formation au séminaire des Carmes à Paris et sera ordonné prêtre pour le diocèse de Poitiers. 7 séminaristes y sont actuellement en formation. 

source

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12 mai 2010 3 12 /05 /mai /2010 15:37

 

Sous la pression médiatique, le cardinal Ricard a dérapé

A bout de forces, titubant sous une intense pression politico-médiatique, externe et interne, le malheureux cardinal Jean-Pierre Ricard a enfin parlé en son nom et donné sa signature.

Il a fini par publier lui-même un communiqué contre l’Institut du Bon Pasteur (IBP), s’alignant sur l’article de La Croix du 27 avril et cautionnant à son tour le témoignage des menteurs professionnels « infiltrés » de France 2.

Certes, il y avait déjà eu à Bordeaux un communiqué conforme, fin avril, mais impersonnel, il était celui de l’archevêché et point celui de l’archevêque. La Croix du 11 mai nous présente maintenant la « réaction » du Cardinal-Archevêque en personne, qui déclare notamment :

« L’accueil dans l’Eglise diocésaine de l’Institut du Bon Pasteur implique une communion avec les autres composantes de l’Eglise de Gironde (…) qui sont appelées à traduire dans des actes l’engagement que l’Eglise catholique a pris à Vatican II vis-à-vis des chrétiens des autres confessions chrétiennes, des juifs, des membres des autres religions. »

Pourtant les décrets de Vatican II ne font nulle part mention explicite d’aucune négociation, d’aucun accord, d’aucun engagement à l’égard « des autres confessions chrétiennes », ni « des juifs », ni « des membres d’autres religions ». Et personne avant le cardinal Ricard n’en avait publiquement parlé aussi crûment.

Il faut donc comprendre que ces engagements pris « par l’Eglise » l’ont été non point par Vatican II, mais à l’occasion ou à l’intention de Vatican II.

Nous en connaissons un exemple, un seul, mais certain : l’accord de Metz passé avec la Russie stalinienne, comportant l’engagement de ne plus combattre le communisme en échange de représentants de l’Eglise russe autorisés à venir assister en « observateurs » au Concile (cf.  L’accord de Metz, un volume de 75 pages aux Editions Via Romana).

Il ressort donc du communiqué cardinalice que, de la même manière ou d’une manière analogue, une triple négociation secrète, à l’occasion ou à l’intention du Concile, a eu lieu :

— avec « les autres confessions » ;

— avec « les juifs » ;

— avec « des membres des autres religions ».

L’accord secret passé avec Moscou s’était « traduit dans des actes » par l’arrêt de toute opposition explicite au communisme.

Par quels actes l’IBP va-t-il être sommé maintenant de traduire les engagements secrètement pris « par l’Eglise » à l’égard « des chrétiens des autres confessions », et « des juifs », et « des membres des autres religions » ? Il faudra bien alors révéler à l’IBP le contenu précis de ces engagements.

Puisque La Croix confirme à nouveau que la cible de l’affaire est bien « l’Institut du Bon Pasteur, institut de droit pontifical dirigé par l’abbé Philippe Laguérie », c’est donc avec l’abbé Laguérie que le cardinal Ricard aura à en discuter.

Il ne pouvait pas mieux tomber. Nous connaissons assez l’abbé Laguérie pour souhaiter au Cardinal bien du plaisir.

Le malheureux est à la tête d’un diocèse fortement noyauté, notamment par un « groupe de catholiques du diocèse représentant 190 laïcs »d’un extrémisme gauchiste virulent, et par un « conseil presbytéral » d’une quarantaine de prêtres également très marqué par un progressisme imprécateur : ils sont l’un et l’autre médiatisés à grand fracas. Une pratique de la dialectique marxiste prétend faire la loi dans « l’Eglise de Gironde », et le Cardinal y résiste comme il peut. Cette fois, il a visiblement dérapé.

JEAN MADIRAN

 

 

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 21:13

http://3.bp.blogspot.com/_cQ2xhpZfenk/Sp-siN3NpqI/AAAAAAAAKfc/66Wqt0Rs_cA/S1600-R/Orb+Masthead.jpgRome reste un monde à part. Quand on le quitte, on rêve d'y retourner. J'écoutais tout à l'heure Eric Zemmour s'en entretenir avec Christophe Dickès, sur Canal Académie. Personnellement, je prends un grand plaisir à consulter régulièrement ce modeste blog, www.orbiscatholicus.org, qui nous permet de nous plonger dans les trésors de cette merveilleuse cité.

Ne vous sentez pas obligé(e) d'aimer. Mais moi, je suis accro.

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10 mai 2010 1 10 /05 /mai /2010 15:03

Jacques Paugam pose sept questions essentielles à la philosophe académicienne

http://www.canalacademie.com/IMG/cache-119x100/arton5752-119x100.jpgLa philosophe, historienne, romancière et académicienne Chantal Delsol, fondatrice de l’Institut de recherche Hannah Arendt, éditorialiste au Figaro, ne fait mystère ni de sa foi catholique ni de ses convictions politiques puisqu’elle se définit comme une « libérale néo-conservatrice » et une « non-conformiste de droite ». Invitée de la rubrique « L’Essentiel », elle répond aux sept questions rituelles de Jacques Paugam sur canal académie.

Adresse directe du fichier MP3 : http://www.canalacademie.com/emissions/hab589.mp3

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