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9 avril 2022 6 09 /04 /avril /2022 21:51

 

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 21:57

 

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8 avril 2022 5 08 /04 /avril /2022 16:26

 

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18 novembre 2019 1 18 /11 /novembre /2019 14:55

... parue dans la revue educatio :


Jean-Pierre Putois
Petit trésor des catéchismes diocésains


Ed. Via Romana -2017 – 564 p.

Cet ouvrage paradoxal s’inscrit doublement dans le débat pédagogique actuel : d’une part, en effet, il réactive allègrement les polémiques soulevées par la transformation du catéchisme en catéchèse, convaincu des mérites du premier et des « dangers » de la seconde ; d’autre part, et simultanément, il nourrit le débat entre les adeptes proclamés de la transmission des contenus culturels et ceux qui sont censés préférer les « méthodes nouvelles » : c’est le conflit entre les réputés « républicains » et les réputés « pédagogues ». Mais cette distinction est dépourvue de signification : comment concevoir des méthodes qui ne viseraient pas la transmission d’un objet ou, inversement, une transmission qui ne chercherait pas la démarche la plus efficace ? Aussi bien, le catéchisme d’autrefois mobilisait une méthode claire et identifiée, sous la forme de questions et réponses, qui impliquait mémorisation et récitation « par cœur ».

Quoi qu’il en soit cette anthologie est précieuse et bien intéressante, car elle rappelle le souvenir de ces catéchismes diocésains élaborés à la suite du Concile de Trente et utilisés pendant trois siècles, jusqu’à la promulgation d’un Catéchisme National, en 1937, et aux évolutions ultérieures. A cette lecture, les moins jeunes reconnaîtront aisément la manière dont ils ont été instruits de la Religion. Et l’on saisira aussi le bien-fondé des remarques de Joël Molinario sur la disparition d’une transmission familiale qui donnait sens à la forme scolaire de la leçon de catéchisme[1], alors que, celle-ci, au sein d’une société sécularisée, déchristianisée et déclinante, devient d’autant moins recevable que son formalisme et sa rigidité heurtent la spiritualité contemporaine, plus sensible à l’image d’un Dieu miséricordieux. Encore aurait-on souhaité que les demandes d’élaboration de ce « petit trésor » soient exposées, sa méthodologie plus précise et son système de références plus explicite. Il reste que cette très volumineuse publication prolonge et alimente à sa manière une problématique qui traverse l’histoire et déborde son objet.

Guy Avanzini

[1]J. Molinario in Revue Transversalités– N° 141 – Avril-Juin 2017 ; cf aussi, du même auteur, le catéchisme, une invention moderne – Paris – Bayard – 2013.

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2 avril 2010 5 02 /04 /avril /2010 18:07

par Marie-Christine Bouchard

in Cyberpresse

(Sherbrooke) C'est dans les années 1970, au terme de ses années d'études au Séminaire de Sherbrooke, que Daniel Couture a décidé de s'envoler pour la Suisse, là où l'on offrait encore une formation catholique traditionnelle. Ainsi allait-il devenir prêtre pour la Fraternité Saint-Pie X, une congrégation religieuse qui loge aujourd'hui dans 60 pays à travers le monde, qui compte quelque 500 prêtres et dont la mission est de conserver et d'offrir un modèle traditionnel de l'Église catholique.

Une fois ses études complétées, c'est une vie de voyages et de missions aussi riches que variées qui attendait l'abbé sherbrookois."Je suis d'abord resté trois ans dans l'Idaho, aux États-Unis, de 1984 à 1987. Ensuite, j'ai été nommé supérieur de l'Irlande. J'ai eu la chance de découvrir ce pays dans tous les sens! En 1996, je suis devenu supérieur du district de l'Asie, et j'ai déménagé à Singapour. Je suis maintenant en charge de 20 prêtres, qui travaillent dans 17 pays asiatiques et qui vivent dans six prieurés (nos maisons)", explique l'abbé Daniel Couture à l'autre bout du fil.

Destination : l'Asie

Le prêtre voyage beaucoup dans cet immense territoire. "Pour nous rendre d'une extrémité à l'autre de l'Asie, il faut dix heures d'avion dans un sens, et dix heures dans l'autre sens. C'est immense!"

Et que font les prêtres de la Fraternité Saint-Pie X à travers le monde?

"Un de nos principes est de suivre la providence. Au service des fidèles catholiques qui recherchent la tradition, qui souhaitent revenir à une forme plus traditionnelle de l'Église, nous allons là où les gens nous demandent", précise l'abbé Couture.

Alors qu'il sillonne l'Asie, le missionnaire est à même de voir toutes sortes de variétés culturelles, de la grande richesse de Singapour à l'extrême simplicité de certains résidents de petites îles perdues dans l'océan.

"Je vous donne un exemple de notre principe de "suivre la providence". Un jour, un de nos prêtres était en vacances sur l'île de Vanuatu. Un homme l'a vu avec sa soutane et est venu lui dire que ça devait faire deux ans qu'il n'avait pas vu un prêtre dans son village. Ce prêtre a donc promis que nous irions là-bas, et c'est moi qui ai été désigné pour le voyage.

"Une fois dans ce petit village d'environ 100 habitants, je donnais des cours de préparation au mariage et je me suis rendu compte que les habitants ne connaissaient ni leur âge ni leur année de naissance! C'était assez surprenant...

"Nous avons donc suivi la providence et la Fraternité a pris ce petit village en charge. Nous leur construirons bientôt une petite chapelle..." cite l'abbé Couture.

Les exemples des accomplissements de sa Fraternité sont nombreux, ça et là dans le monde. Pensons à l'un des prêtres de la Nouvelle-Zélande, qui réalise actuellement un grand projet.

"Ce prêtre a conclu une entente avec des soeurs enseignantes dominicaines. Avec leur aide, nous leur construirons une école pour filles, en plus d'un couvent. Le projet vaut plus d'un million de dollars. C'est beaucoup de travail pour financer tout ça, mais on y parvient. Et on prie Saint-Joseph", ajoute l'abbé.

1000 baptêmes pascals

Quant à la fête de Pâques qui arrive d'ici quelques jours, l'abbé Couture la célébrera sur son île située en plein coeur de l'océan Indien. Comme un peu partout dans le monde, la veillée pascale sera riche en émotions et en significations.

"Il y a aura beaucoup de baptêmes dans plusieurs de nos églises. Seulement 5% des Singapouriens sont catholiques, mais environ 1000 baptêmes ont lieu chaque année, dont une grande majorité pendant la veillée pascale! C'est une fête qui donne espérance, la victoire de la vie contre la mort, du bien contre le mal", raconte le prêtre.

D'ailleurs, au cours des années, Daniel Couture a rencontré des gens qui, vivant sous des conditions horribles, ont pourtant gardé l'espérance grâce à ce miracle pascal.

"En Chine, j'ai vu des gens qui ont passé 35 ans en prison et qui ont tenu bon grâce à la foi en la résurrection. Malgré les 2000 années qui ont passées, le message de Pâques ne s'est jamais usé."

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25 mars 2010 4 25 /03 /mars /2010 18:46
http://www.seminaire-econe.ch/frcom/photos/memoriam/ph055.jpg
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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 15:03
... publié par Vulpus sur le Forum Catholique, et que je reproduis ici.

 http://lh6.ggpht.com/_owUG1xBZNf4/S5lyvN2MjbI/AAAAAAAAASc/68YfI1KwE80/s512/Abbé%20Schaeffer%20pour%20le%20ForumCatholique.jpg
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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 09:40
On se souvient du sermon du 15 novembre 2009 de M. l'abbé Legrand, prêtre de la Fraternité st Pie X à Versailles.
Ce mois-ci, c'est le Prieur de Lyon, de la même Fraternité sacerdotale, qui nous donne une petite sucrerie aigre-douce, que je vous invite à lire ci-dessous.
A travers la question de l'école, c'est au fond une fois encore les instituts Ecclesia Dei (et plus particulièrement la Fraternité st Pierre) qui sont visés par cet abbé qui porte, lui, bien son nom.
Cette sucrerie, c'est l'éditorial de son Bulletin mensuel de février 2010.
Pour éclairer le liseur, on précisera que l'agglomération lyonnaise compte deux écoles primaires catholiques hors contrat : l'école st Dominique Savio (dont l'aumônerie est assurée par d'anciens prêtres de la fraternité St Pierre qui ont rejoint l'archidiocèse) et l'école Ste Jeanne d'Arc, créée en août 2007.
Ayant personnellement participé à la création de cette école, je dois reconnaitre que les lignes de M. l'abbé ont quelque tendance à me hérisser le poil.
Je trouve lamentable que l'on puisse laisser entendre que cette école, qui est aujourd'hui placée sous la direction de la Fraternité St Pierre (l'abbé Benoit de Giacomoni en est le directeur, l'abbé Jérôme Lebel en assure l'aumônerie) puisse empoisonner des enfants sur le plan spirituel.
Lire de la plume d'un prêtre l'exhortation à prier "le Père des Cieux qu'Il accorde enfin à ses petits Lyonnais un primaire où ils soient non seulement à l'abri de la perversion moderne, mais encore des compromis conciliaires." me parait effrayant. J'y vois là encore une gifle donnée à nos prêtres et à nos institutrices dont nous connaissons et reconnaissons les qualités.
M. l'abbé Vassal oserait-il nous dire en quoi l'enseignement dispensé à l'école ste Jeanne d'Arc fait courir des risques spirituels aux âmes des enfants des fidèles de son Prieuré ?
XA


Laissez venir à moi...

Dans les premières pages de son roman historique Août 14, Soljénitsyne nous décrit les mésaventures d'un paysan trop intelligent qui, à force de roublardises, parvient à faire inscrire sa fille dans le meilleur collège de Rostov. A l'issue de ses études cette jeune fille a perdu la Foi. « Et Tomtchak comprit, un peu tard, qu'il n'avait oublié de demander qu'une toute petite chose à la directrice : si, avec tout son collège... elle croyait en Dieu. »

De même dans l'histoire du combat de la Tradition combien de parents ont cru pouvoir finasser avec la question de l'éducation de leurs enfants, et qui maintenant sur ces âmes perdues. Ces mêmes personnes, qui n'hésitaient pas à faire des heures de route pour se rendre chaque dimanche à la messe des « prêtres de Monseigneur Lefebvre » étaient dans le même temps incapables de consentir les sacrifices nécessaires à l'éducation de leurs enfants. Voire ! Quand cela n'était pas une question de principes faux, qui excluaient a priori l'éducation catholique, nécessairement de qualité moindre que celle du lycée d'état, ou le pensionnat réputé déséquilibrant pour les enfants. Les voilà maintenant se lamentant sur leurs enfants, brillants chefs d'entreprises, équilibrés semble-t-il, et non pratiquants quand ils ne sont pas évidemment athées.

Faut-il que cela se reproduise à chaque génération ?

L'Eglise a des normes très strictes sur l'éducation et les parents devraient d'eux-mêmes étudier comment cette Mère estime les choses. Il en va, ni plus ni moins, que du salut des âmes des enfants. Et parce que notre Sainte-Mère se sait en possession de secours très puissants par la grâce des sacrements, elle n'hésite pas à demander à ses enfants des sacrifices qui confinent à l'héroïsme ou, en termes théologiques, à la sainteté.

A l'époque de Pie IX, le Saint-Office donna une instruction aux évêques des Etats-Unis leur rappelant que dans l'esprit de l'Eglise, le pensionnat était une solution bien plus normale que le lycée d'état. Dans tous les cas, à cette époque-là où la scolarisation des adolescents était moins généralisée qu'à l'heure actuelle, le placement d'un enfant au lycée d'état devait toujours faire l'objet d'une autorisation de l'évêque, donnée au cas par cas.

Je ne crois pas qu'en matière de perversion des enfants, notre éducation nationale ait quoi que ce soit à envier à l'oeuvre des professeurs de la IIIème république.

Par cohérence dans le combat de la Tradition, nous pouvons même aller encore plus loin. Est-il normal de confier nos enfants à des écoles primaires dépendant des congrégations Ecclesia Dei qui s'interdisent par principe (du fait même de leur dépendance à la commission Ecclesia Dei) de remettre en cause le funeste concile Vatican II et l'apocalyptique esprit d'Assise ? Et si ces enfants ne sont pas encore capable de souffrir de cette incohérence, n'est-ce pas justement les habituer à ne plus savoir rien distinguer et leur permettre de contracter à la longue des amitiés qui parleront dans leur vie à la place de l'esprit de Foi ?

En ce mois de février, où se pose à nouveau pour les parents la question de la scolarisation de leurs enfants l'année prochaine, il est bon de se rappeler qu'un pis-aller, une échappatoire ou une demi-mesure, ne peut pas devenir, avec le temps, une solution de principe. Au contraire il est rare de voir ce genre de solution bonifier en vieillissant.

Prions le Père des Cieux qu'Il accorde enfin à ses petits Lyonnais un primaire où ils soient non seulement à l'abri de la perversion moderne, mais encore des compromis conciliaires.

Prions le Saint-Esprit qu'Il daigne éclairer les parents. Qu'Il leur donne de se poser les bonnes questions, de demander les bons conseils pour savoir prendre la décision prudente, au cas par cas...

Abbé Paul Vassal

L'Aigle de Lyon n° 244, février 2010, pages 1 et 2.
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 12:45
Sur le site de Pro Liturgia, M. Denis Crouan ne cesse de donner des leçons d'ecclésiologie aux catholiques du monde entier. Alors, avec la FSSPX, il s'en donne à coeur-joie... Pensez donc !

Pour preuve, sa livraison du jour, aussi éphémère que les précédentes, le dit site ne comportant (heureusement pour lui) pas d'archives :


Deux phrases du pape Benoît XVI indiquent avec la plus grande netteté les bases sur lesquelles pourra s'établir le dialogue des repésentants du Siège apostolique avec les representants du mouvement lefebvriste:
"On ne peut geler l'autorité magistérielle de l'Eglise à l'année 1962: ceci doit être bien clair pour la Fraternité [Saint-Pie X] (...) Vatican II renferme l'entière histoire doctrinale de l'Eglise."
Ces points ont été précisés par le Saint-Père aux évêques du monde entier. Il n'est pas interdit aux autres fidèles d'en tenir compte...

Bien compris, Herr Professor...
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 12:07

Le district de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X recommande à vos prières le repos de l’âme de

Monsieur l’abbé Didier BONNETERRE,

prieur de la chapelle Sainte-Germaine,

décédé accidentellement le 15 septembre 2009 à l’âge de 55 ans.

La messe des funérailles sera célébrée le vendredi 18 septembre à 15 h en l’église paroissiale de Montsalès (Aveyron) et sera suivie de l’inhumation dans le caveau familial.

Un service funèbre sera célébré le vendredi 18 septembre à 18 h 30 en la chapelle Sainte-Germaine, 19, avenue des Ternes, Paris 7e, et le samedi 19 septembre à 10 h 30 en l’église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, 23, rue des Bernardins, Paris 5e.

Requiescat in pace.

Ordonné prêtre par Mgr Marcel Lefebvre à Ecône en 1977, il fut professeur de liturgie au séminaire d’Ecône, puis directeur du séminaire d’Albano. En 1982, il fut nommé prieur du prieuré Saint-Louis à Nantes, puis en 2004, prieur de la chapelle Sainte-Germaine à Paris.

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