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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 21:23
Première partie à lire en cliquant ici.

Je rappelle que c'est au Mas-Rillier que se tiendra la Rencontre Inter-Liseurs marquant les 10 ans du Forum Catholique.
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27 février 2010 6 27 /02 /février /2010 09:00

http://www.via-romana.fr/program_files/uploads/large/9782916727691.jpgLe débat actuel sur l’identité nationale relance la réflexion sur les fondements historiques et religieux de notre Pays. L’auteur a donc choisi d’aborder ici le rôle méconnu joué par le christianisme dans la formation et l’épanouissement de la communauté française.

Du baptême de Clovis à l’héroïsme de sainte Geneviève ou de sainte Jeanne d’Arc, de l’Occident de Charlemagne au doux royaume de saint Louis, du vœu de Louis XIII au martyre de Louis XVI, du concordat de Bonaparte aux lois de séparation des Églises et de l’État, Jean-François Chemain ressuscite dans un style vivant et coloré les principaux rendez-vous de notre Histoire avec le sacré. Royaume de Marie, la France est appelée à l’être du Sacré-Cœur en dépit des déchaînements successifs du laïcisme révolutionnaire et des assauts de l’islamisme.

C’est la mise en évidence de cette vocation spirituelle et temporelle de la France « éducatrice des sociétés » dont parlait Jean-Paul II que réussit ce petit livre, sans esquiver la question de sa fidélité de première baptisée en Europe.

 


Lyonnais, né en 1961, Jean-François Chemain est diplômé de l'Institut d'Études Politiques de Paris, diplômé d'Études approfondies de droit international et agrégé d'Histoire. Il termine actuellement une thèse d'Histoire du droit. Il a exercé pendant une dizaine d'années le métier de consultant international dans plusieurs cabinets anglo-saxons, avant de devenir cadre dirigeant dans un grand groupe industriel français. Depuis 2006, il a choisi d'enseigner l'Histoire, la Géographie et l'Éducation Civique à Vénissieux-Les Minguettes dans un collège de Zone d'Éducation Prioritaire de la banlieue lyonnaise.

Cet ouvrage peut être commandé via le site des éditions Via romana, en cliquant ici.

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2 février 2010 2 02 /02 /février /2010 11:39
On peut lire en ligne sur le site de la Nef plusieurs articles consacrés à l'affaire de Thiberville :

Thiberville : Don Camillo en Normandie, par Christophe Geffroy

« Je ne suis qu’un simple curé de campagne », entretien avec l’abbé Michel

La Nef consacre par ailleurs son dossier de février 2010 à la question de l'euthanasie.


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2 janvier 2010 6 02 /01 /janvier /2010 09:54
medium_1960_camus_match_1IMG_2423-copie-1.jpgCinquante ans après sa disparition, tous les médias célèbrent Albert Camus, avec un temps fort : la diffusion, mercredi 6 janvier sur France 2, du « Camus » réalisé par Laurent Jaoui

Dès l’ouverture, l’émotion s’impose. L’enfant de la pauvreté apparaît dans l’éclat du soleil algérien. La plage, le quartier de Belcourt, l’instituteur, la mère silencieuse, la grand-mère autoritaire… Les lecteurs du Premier Homme (1) tressaillent. Ils sentent que le réalisateur, Laurent Jaoui, leur fait une promesse : prolonger à l’écran ce livre que l’on ne ferme jamais.

La gratitude se prolonge en découvrant l’interprétation de Stéphane Freiss. Juste, sans scories et sans artifices (ou presque), à la hauteur de son sujet : habité, profond et déchiré.

Choisissant d’évoquer sous forme de flash-back les dix dernières années de Camus, le film est construit autour du dernier réveillon de l’écrivain à Lourmarin. Il y reçoit en compagnie de son épouse Francine (Anouk Grinberg, la fragile beauté d’un cristal brisé), Michel et Janine Gallimard, amis, complices et confidents.

Un dîner qui se vit comme une dernière cène avant la fin tragique. Qualité du texte et de la restitution d’une époque, le film est à bien des égards une vraie réussite.

L’impératif sentimental

Néanmoins, malgré l’originalité de la proposition et la qualité de l’interprétation, il n’est pas au-dessus de toute critique. Inspiré sur le fond par Olivier Todd, l’un des biographes de l’écrivain, Laurent Jaoui tombe dans l’un des travers de la fiction française : l’impératif sentimental.

Le contexte intellectuel, littéraire, historique des années cinquante n’est pas oublié, bien entendu. Tous les passages obligés et attendus sont au rendez-vous : la querelle de L’Homme révolté et la séparation d’avec Sartre, la guerre d’Algérie, le prix Nobel de littérature… Le tout ponctué des phrases célèbres de l’auteur, comme la fameuse « entre ma mère et la justice, je préférerai toujours ma mère ».

De même, la place du théâtre et de la danse dans la vie de Camus est mise en évidence. Et enfin, évidemment, son goût pour les femmes (La Chute est éloquente sur le sujet (2)). L’écrivain n’a pas été, sur ce point, ce que l’on appellerait un homme fidèle. Mais plus on progresse dans le film et plus le propos se concentre sur cette dimension intime de l’écrivain.

Ses dix dernières années s’éclairent peu à peu à la lumière de ses tourments domestiques et de ses passions dévorantes, celles d’un homme de 40 ans qui se prépare à rompre définitivement avec sa femme. Un Camus, en quelque sorte, malade d’une crise de milieu de vie, inscrivant son nom dans la longue liste de ceux qui délaissent le foyer pour une « jeunette ».

Le dernier repas

C’est toute la tension dramatique du dernier repas. Un point de vue qui, pour les besoins de la cause, invente même une scène d’adieu entre les deux époux : dans le train qui les conduit à Paris, Francine l’autorise à la quitter. Camus rejoint alors la voiture des Gallimard. Une embardée tragique met un point final à cette nouvelle aube.

Ce qui ainsi s’annonçait comme une très belle évocation d’une figure majeure de la vie intellectuelle des années d’après-guerre verse peu à peu dans un sentimentalisme bien peu camusien (3). À la relecture du film, les scènes « sérieuses » (Sartre, l’Algérie…) apparaissent comme la justification (le décor ?) d’un téléfilm sentimental.

Du Camus journaliste, résistant, auteur prolifique d’une œuvre éclectique, le téléspectateur ne saura rien ou presque. À l’heure où triomphe l’information people, il ne sera pas dépaysé. Philip Roth, dans son saisissant dernier roman, Exit le fantôme (4), mettait en garde contre les biographes qui font de l’intime (la faute, le secret, l’infidélité) la clé de toute une œuvre. Camus, après bien d’autres, est la nouvelle victime de cette dérive contemporaine.

Laurent LARCHER

(1) Dernier livre sur lequel Camus travaillait lorsqu’il est mort en 1960. Roman autobiographique inachevé, il a été publié en 1995 chez Gallimard.
(2) La Chute, folio, 2008, pp. 61-73.
(3) Lire l’article « Femme » de Séverine Gaspari dans le Dictionnaire Albert Camus, sous la direction de Jean-Yves Guérin, Bouquins, 2009, p. 321-324.
(4) Exit le fantôme, Philip Roth, Gallimard, 2009.

Source : La Croix
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31 décembre 2009 4 31 /12 /décembre /2009 09:24
Chers liseurs,

Quel est pour vous le livre de l'année 2009 ?

Je précise les modalités : ce livre doit être paru en 2009. Il ne doit donc pas s'agir d'un livre que vous ayez seulement lu en 2009, mais d'un livre paru en 2009 et que vous ayez particulièrement apprécié.

Votre contribution est à adresser à admin@leforumcatholique.org avant le 10 janvier 2010.

L'auteur du livre le plus fréquemment cité, s'il est francophone, sera invité à un Rendez-vous du FC pour répondre à vos questions.

Merci de ne pas publier votre choix ici-même afin de n'influencer personne.

Cette consultation est ouverte aux seuls liseurs inscrits du Forum.
On pensera à rappeler son nom d'intervenant au sein du courriel où l'on stipulera son choix.

Rendez-vous au 11 janvier pour la publication des résultats !

XA
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 11:23
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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 14:18

possède désormais son amicale française qui vient de se créer et que vous êtes cordialement invités à rejoindre, comme le précise sur le Forum Catholique Philippe Maxence, qui préside l'association. Le tout dans un silence quasi de plomb. Les tradis ne sauraient-ils s'intéresser à autre chose que la Liturgie ? C'est à se demander.

Pour en savoir plus, cliquez ici.

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31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 14:09
Assum a lancé le 18 juillet dernier un "sondage" intéressant auprès des liseurs du Forum Catholique.

Les questions sont les suivantes :

1/ le livre que vous n'êtes jamais parvenu à finir

2/ le livre que vous vous n'êtes jamais parvenu à commencer

3/ le livre que vous ne lirez jamais

4/ le livre que vous aimeriez lire

5/ le livre que vous aimeriez relire

6/ le livre qui vous a le plus déçu

7/ le livre qui vous a le plus enchanté

8/ le livre que vous lisez actuellement

Les réponses fournies par les liseurs du forum permettent de donner quelques idées de lectures estivales. Pour ce qui me concerne, cela m'a poussé à terminer ce que j'avais laissé en plan.

Un fil à lire (voire à enrichir) en cliquant ici.

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30 juillet 2009 4 30 /07 /juillet /2009 16:10
Le dernier numéro de l'Homme Nouveau est quasi intégralement consacré à la personne du st Curé d'Ars. Une foule d'articles qui ont tous l'air plus intéressant l'un que l'autre. Merci à la rédaction pour ce travail !

Et puis en prime, on a même (enfin) droit à une photo de Monsieur Chiron hihi

XA

PS : bon, le lien est connu, mais au cas où : www.hommenouveau.fr
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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 23:30
Tel est le titre de la dernière livraison de Semetipsum. Evidemment on appréciera mieux en ayant lisu les derniers échanges du forum...

A découvrir en cliquant là.
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