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23 février 2010 2 23 /02 /février /2010 16:05

Paterculus, prêtre intervenant sur le Forum Catholique, vient de de mettre sur son blog un texte intitulé LE SACERDOCE EN FRANCE APRES VATICAN II.

En voici le plan :

Nos premières réflexions iront à l’épiscopat, car Vatican II a introduit là des précisions nouvelles sur les rapports entre le sacerdoce de l’évêque et celui du prêtre, et une pratique particulière, celle des conférences épiscopales (I. Un épiscopat hypertrophié. II. Un épiscopat atrophié.) Ensuite il sera question du rapport du prêtre avec le Christ dans les sacrements (III. Un clergé éloigné de l’Eucharistie.), puis de sa situation institutionnelle dans l’Eglise (IV. Un clergé souffrant d’instabilité. V. Fonctionnalisation et fonctionnarisation du sacerdoce. VI. La montée en puissance du diaconat et du laïcat.) et enfin de ses rapports avec le monde (VII. Un clergé relativiste. VIII. Un clergé désabusé.) Avant de conclure, on évoquera des tendances plus récentes, encore minoritaires, mais dont on peut penser – et souhaiter – qu’elles prennent de plus en plus de force afin que le concile soit enfin compris, appliqué et vécu selon l’herméneutique de la continuité (IX. Un clergé en profond renouvellement).

Et voici le
lien : (http://pageliasse.hautetfort.com/archive/2010/02/23/le-sacerdoce-en-france-apres-vatican-ii.html ) pour pouvoir lire ce texte.

A diffuser !


XA

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28 janvier 2010 4 28 /01 /janvier /2010 15:36
Un mythe falsificateur
Chantal Delsol le jeudi, 28/01/2010
dans Parlons Vrai (Valeurs Actuelles)


Par Chantal Delsol, de l’Institut

William Cavanaugh, talentueux écrivain américain, auteur jusqu’à présent d’un ouvrage sur la société de consommation, fera parler de lui. Ici, il s’attache à démanteler un préjugé. S’agit-il de prétendre que la violence religieuse n’a pas existé? Non, bien entendu. Il s’agit de contredire avec force arguments un mythe tenace, c’est-à-dire un récit indéfiniment répété et plein de sens mais servant ici une idéologie et méprisant les faits: l’affirmation selon laquelle l’époque des “guerres de religion” a été bienheureusement close par l’ascension de l’État moderne, capable d’éteindre ces guerres, de diffuser l’esprit de tolérance et de clore un âge sombre de notre histoire.

L’ouvrage est passionnant. Il tient à la fois de l’analyse historique, sociologique et politique.

L’auteur décrit minutieusement un certain nombre de thèses qui établissent le mythe et l’installent dans la continuité, à ce point qu’il devient une certitude culturelle indubitable. Puis il s’attache à montrer combien religion et société étaient liées jusqu’à la modernité, au point que parler de “guerres religieuses” est pratiquement un anachronisme, puisque, à cette époque, le concept même de “religion” n’existait pas. Il décompose les divers éléments du discours sur les “guerres de religion” des XVIe et XVIIe siècles et montre par de multiples exemples historiques qu’il est excessif de prétendre que le motif de ces guerres était religieux. Il compare les arguments des historiens de toutes opinions sur le sujet.

Enfin, il propose une explication de la vitalité paradoxale de ce mythe falsificateur : il fonctionne comme “mythe du salut”, racontant indéfiniment l’histoire de notre sortie d’un religieux considéré comme barbare ; de ce fait, il permet de légitimer toutes les violences “séculières” puisqu’elles luttent contre les violences religieuses; il justifie le portrait de l’ennemi de l’Occident, le musulman fondamentaliste, celui qui n’est pas sorti du fanatisme heureusement éradiqué chez nous et qui mérite par conséquent d’être littéralement retranché de la terre. C’est donc que le refus de la violence n’est pas le vrai motif, puisqu’une certaine violence est justifiée sans équivoque: le vrai motif est la haine de la religion.

Il est intéressant de voir resurgir la mémoire de ces “guerres de religion”, où partout en Europe les fidèles d’une même confession s’entre-tuent, où les adeptes de deux croyances différentes s’allient contre le tenant de l’une d’entre elles… Comme le dit William Cavanaugh, si, entendant parler de la guerre de 1914-1918 comme d’une guerre nationale, je m’apercevais que nombre de régions anglaises se sont alliées avec nombre de provinces allemandes, et que partout les combats furent aussi infranationaux, je chercherais un autre qualificatif que celui de “guerre nationale”et je m’efforcerais de découvrir des motifs plus réels à ces luttes interminables…

La certitude finale de l’auteur est celle-ci : les “guerres religieuses”, sur lesquelles s’instaure l’histoire de notre “salut”, n’ont pas été réellement le fait des religions luttant entre elles, mais ont marqué plutôt le moment de l’établissement de l’État moderne, qui, pour acquérir sa puissance, a dû batailler partout en utilisant toutes les croyances et tous les intérêts mêlés. L’État libéral moderne n’a pas été, comme on croit, celui qui vient mettre un terme aux violences religieuses; il a, au contraire, pour se construire, utilisé les passions religieuses comme il a utilisé les passions sociales, économiques et autres. Il a avivé ces passions et, loin de les éteindre, il les a subrepticement déplacées. Tout aussitôt, le sacré est passé dans la sphère séculière et le fanatisme s’est relevé plus tard au nom de la nation, puis au nom des idéologies.

L’auteur n’en tire aucunement une défense du fanatisme religieux ni une justification des guerres religieuses quelles qu’elles soient. Bien au contraire. Il est persuadé que, si les esprits religieux ne quêtent pas la paix, alors qui le fera? Il réclame seulement que nous ayons l’honnêteté de regarder notre histoire les yeux ouverts, et que nous cessions de vivre sur des mythes satisfaisants et faux. Non pas seulement pour rendre justice au passé. Mais pour nous donner les moyens de nommer à l’avenir les véritables dangers – à commencer par nousmêmes, hantés par nos fables dangereuses.

Le Mythe de la violence religieuse, de William Cavanaugh, Éditions de l’homme nouveau, 384 pages, 29€.

Photo © Patrick Iafrate
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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 16:18
L'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre (Gricigliano) vient d'être reconnu ce jour, mardi 7 octobre, en la Fête de Notre-Dame du Saint-Rosaire, « société apostolique en forme canoniale de droit pontifical ».
C'est ce que nous annonce ce jour Daniel Hamiche sur le Forum Catholique. Plus de détails en cliquant ici.

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 13:04

Lorsque vous vous êtes entrenu avec un prêtre, votre intention est-elle de lui obéir ou de suivre ses préceptes ?

Nous devons-nous, en tant que catholiques, d'obéir à nos prêtres ou d'entendre les bons principes et règles qu'ils nous prescrivent ?

Une discussion à mon sens intéressante, développée sur le Forum Catholique, à retrouver en cliquant ici.



Illustration : Kiroff, auteur du dvd Agapé scènes de la vie de Jésus
www.agape-dvd.com

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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 09:12

Guerres de religion et conséquences
par l'auteur du dvd
Agapé scènes de la vie de Jésus
www.agape-dvd.com

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 10:39

Le site InfoCatho en est encore tout bouleversifié. Ce site qui est hébergé "par les services informatiques de la Conférence des évêques de France auxquels (il apporte sa) contribution éditoriale par les homélies dominicales, la biographie quotidienne des saints, la recension de "nominis", la documentation liturgique, etc ..." entend "témoigner de la vie de l'Eglise sur les cinq continents". Un petit bijou que ce dernier article consacré à la Communion à genoux ou debout. C'est toujours un régal que de lire ces lignes inquiètes de ces catholiques qui n'hésitent pas à appeler au secours les Pèrrrrrrres de l'Eglise, lorsque cela semblerait les arranger.


A GENOUX, DEBOUT... QUELQUES MISES AU POINT

Lors de la messe que Benoît XVI a célébrée le dimanche 15 juin à Brindisi, les fidèles qui ont reçu la communion de ses mains ont été invités à s’agenouiller. Les autres prêtres distribuant la communion ce jour-là le faisaient aux fidèles debout.

Depuis la nomination, en octobre dernier, du nouveau maître des cérémonies pontificales, Mgr Guido Marini, les liturgies présidées par Benoît XVI ont pris un tour plus traditionnel, avec la réapparition d’ornements liturgiques du XIXème et du début du XXème siècle.

Ce retour de
Benoît XVI à un style liturgique qui est moins en usage depuis la rénovation liturgique impulsée par Vatican II, provoque des réactions inquiètes de la part de la majorité des fidèles. D'autant que ce rite liturgique "à genoux" n'est pas dans la tradition. Les Pères de l'Église recommandent la communion debout, en signe de la Résurrection et l'ensemble des Églises orientales, qu'elles soient catholiques, orthodoxes ou pré-chalcédonniennes y sont très attachées en raison même de son sens théologique.

Au Saint-Siège, on tient à minimiser cet événement de Brindisi, en soulignant que les autres prêtres distribuant la communion ce jour-là le faisaient aux fidèles debout. "Il y a différentes façons de recevoir la communion", rappelle-t-on. C’est ce que précise la Présentation générale du Missel romain latin : "Les fidèles communient à genoux ou debout, selon ce qu’aura établi la Conférence des évêques."

Mgr Guido Marini devrait prochainement faire une mise au point sur ce sujet.

En fait, pour commenter ce geste de Benoît XVI, la presse "générale", peu au courant de la liturgie, a repris une déclaration faite en février par Mgr Malcolm Ranjith, secrétaire de la Congrégation pour le culte divin, sur le site Internet traditionaliste Petrus : "Je suis convaincu de l’urgence du réexamen de la pratique de la communion donnée dans la main, du retour de la distribution de l’hostie aux fidèles directement dans la bouche, sans qu’ils la touchent."

Le point de vue de celui qui est le numéro deux de la liturgie au Vatican a été attribué un peu rapidement par certaines agences comme étant le point de vue du Pape.

Mgr Ranjith parlait en son nom personnel, commentant les paroles du Pape le 22 mai : "
Nous, chrétiens, avait-il expliqué dans son homélie consacrée à l’adoration eucharistique, nous nous agenouillons seulement devant le Saint Sacrement parce que, en lui, nous savons et croyons être en présence de l’unique et vrai Dieu."

Le Pape n’avait alors absolument rien dit, ni ce jour-là ni à quelque autre moment, quant au mode de communion (dans la bouche ou dans la main, debout ou à genoux). On tient à le souligner au Vatican [sic]. (information : Service de presse du Vatican [re-sic] )

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21 juin 2008 6 21 /06 /juin /2008 10:04
 Lisu sur le site de l'agence APIC.

Londres, 20 juin 2008 (Apic) La Communion anglicane mondiale se trouve clairement devant une division. Selon le quotidien "Daily Telegraph", la séparation avec la tendance libérale de l'Eglise anglicane est déjà annoncée dans un document de l'aile conservatrice, qui regroupe près de la moitié des fidèles dans le monde.

L'Eglise se trouve dans sa plus profonde crise depuis la Réforme, affirment les auteurs du document. Il n'y a "plus aucun espoir" d'unité avec l'aile libérale de la communauté, qui accepte des prêtres homosexuels dans l'Eglise, a écrit, selon le "Daily Telegraph", l'archevêque nigérian Peter Akinola, porte-parole des anglicans conservateurs. Ajoutant: "Nous nous trouvons maintenant devant un moment décisif". Ce point de vue est également partagé par l'évêque Michael Nazir-Ali, de Rochester en Grande-Bretagne, pour qui une séparation est inévitable et les fractions irréconciliables.

L'aile séparatiste est surtout représentée par des responsables ecclésiaux d'Afrique et d'Asie. Elle représente environ la moitié des quelque 78 millions d'anglicans répartis dans le monde. Les points de division touchent également l'accès des femmes à la prêtrise et à l'épiscopat, accepté et mis en pratique par plusieurs Eglises nationales.

Le document de 89 pages, rédigé par des évêques de haut rang, a pour titre "Le chemin, la vérité et la vie". Il est destiné à préparer une conférence, qui se déroule du 22 au 29 juin à Jérusalem et Amman, sur l'avenir de la Communion anglicane. Cette rencontre précède la Conférence de Lambeth, la plus haute instance de la Communion anglicane mondiale, qui siège fin juillet à Londres. Quelque 280 évêques anglicans ont déjà annoncé qu'ils allaient boycotter ce rassemblement, pour participer à la conférence alternative de Jérusalem.

C'est en 2003 que la mèche a été allumée avec la nomination du Révérend Gene Robinson, un prêtre ouvertement homosexuel, comme évêque épiscopalien dans le New Hampshire aux Etats-Unis. (apic/kna/ak/bb)

20.06.2008 - Apic

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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 10:02

Lisu dans Lyon Mag daté de juin 2008, n°181, p.19.

Une nouvelle église va être construite à Vaulx-en-Velin, à l’angle de la rue Cuzin et de l’avenue Pablo-Picasso, d’ici 2011. Sur une surface totale de 1000 m2, cette église catholique qui prendra le nom de Saint-Thomas disposera de 450 places mais aussi de bâtiments annexes comme un oratoire et des salles paroissiales. C’est le collectif d’architectes lyonnais Siz’-ix qui a remporté l’appel d’offres parmi vingt candidats, ayant conçu une église à l’architecture résolument moderne, avec quelques touches de couleurs. Coût du projet : 2,5 millions d’euros.

A noter que deux autres lieux de culte vont être construits à Vaulx-en-Velin : un temple protestant dans le quartier de la Soie, qui sera inauguré en septembre, et une mosquée au Mas du Taureau.

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13 juin 2008 5 13 /06 /juin /2008 09:10

Lisu sur le site du diocèse de Besançon :

Bonjour,
Tu es jeune, lycéen(ne), étudiant(e), jeune professionnel(le), jeune marié(e) ?
Nous avons plein d'activités à te proposer :
Messes du mardi soir :
Organisée par l'Escale Jeunes
Messes "redécouverte" :
Organisée par la Pastorale des Jeunes du doyenné de Besançon
Le premier et troisième samedi du mois à 18h.
Aumônerie des lycées :
(Aumônerie de l'Enseignement Public des lycées de Besançon)
Les mercredi, tous les 15 jours, entre 17h30 et 20h30. Thèmes de réflexion et d'échanges : partager sa vie, sa foi, prier, vibrer, rencontrer, manger, rire...
Nous assurons aussi des permanences dans les lycées. Pour en savoir plus, va voir sur www.aepb.net
Aumônerie étudiante :
Des rencontres à l'Aumônerie étudiante les jeudi soir (tous les 15 jours) à partir de 19h, avec pic-nic, prière, partage, réflexion, échanges et rigolades !
Groupe de prière de l'Emmanuel :
Tous les lundi à 20h30 !
Groupe Jeunes Professionnels :
Le Vendredi à 19h (rencontres mensuelles)
Groupe "Jeunes couples chrétiens d'aujourd'hui" :
Le Vendredi à 20h15 (rencontres mensuelles)
L'Escale Jeunes, c'est aussi une communauté composée de :
8 jeunes (4 gars, 4 filles), 3 prêtres, 1 couple


Pour mieux connaître l'Escale jeunes, n'hésitez pas à faire un tour ici.

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27 mai 2008 2 27 /05 /mai /2008 22:46

On trouve sur le Forum Catholique un certain nombre de reportages photographiques sur diverses processions de la Fête-Dieu organisées ce dimanche.

- A St Nicolas du Chardonnet (Paris)
- A Villars-les-Dombes (diocèse de Belley-Ars) 
- A Saint-Eugène (Paris)
- A Montmirail (diocèse du Mans)

On pourrait faire nettement mieux, si chacun y mettait du sien.

Ce message est laissé ouvert aux commentaires pour permettre à tout éventuel internaute disposant de photographies de telles processions de les mettre en ligne ou d'indiquer un lien.

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