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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 12:00

Le pape Benoît XVI a nommé évêque coadjuteur de l'archidiocèse d'Aix et d'Arles (Bouches-du-Rhône), Mgr Christophe Dufour, jusqu'à présent évêque de Limoges.

Biographie de Mgr Christophe Dufour
Fils de Paul Dufour, directeur d'une entreprise textile, décédé, et de Madame, née Josette Leclercq, Mgr Christophe Dufour est né le 3 décembre 1947 à Armentières (Nord).

Formation

Mgr Christophe Dufour a fait ses études primaires et secondaires au collège et lycée Saint-Jude à Armentières. Il a suivi ses études supérieures de théologie au séminaire universitaire de Lille (1966-1970) puis au séminaire de l'institut catholique de Paris (1972-1974).
Il est titulaire d'une maîtrise en théologie de l'institut catholique de Paris.
Il a été ordonné prêtre le 9 novembre 1975 pour le diocèse de Lille (Nord).

Ministères

1974.1981 Aumônier de l'enseignement public au collège Gaspard Malo et au lycée Auguste Angellier à Dunkerque ;
1981-1993 Aumônier des étudiants de l'enseignement supérieur à Lille ;
1985-1993 Aumônier général adjoint des Scouts de France ;
1994-2000 Vicaire épiscopal de Lille ;
1995-2000 Curé de la paroisse Saint-Sauveur à Lille ;
24 oct. 2000 Nommé évêque de Limoges ;
7 jan. 2001 Consacré évêque.

Mgr Christophe Dufour est président de la Commission pour la catéchèse et le catéchuménat de la Conférence des évêques de France.

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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 09:29


Triste de constater à quel point les media s'étonnent d'une initiative qui n'a pourtant rien d'exceptionnelle chez certaines familles françaises, et pas uniquement catholiques. Sur RTL, ce matin, on s'évertuait à expliquer aux auditeurs, que l'on devait sacrément s'embêter en famille si l'on n'avait pas la télévision. Forcément, cela limiterait les sujets de discussion... Mais c'est bien sûûûûr...

Dix jours sans écran pour les jeunes Strasbourgeois

C’est aujourd’hui que débute dans une école strasbourgeoise l’opération «Défi». Le but ? Réussir à se passer de la télévision, des consoles de jeux et des ordinateurs pendant 10 jours. D'après les concepteurs du projet, ce pari serait inédit en Europe. Appelé «Défi, 10 jours pour voir le monde autrement», l'expérience est née du constat qu'un enfant passe en moyenne 1 200 heures par an devant son écran de télévision, contre 800 à l'école. L'expérience a été créée à la base par une équipe Canadienne, mais sera donc organisée conjointement par l'équipe de l'école située dans une Zone d'éducation prioritaire (ZEP). Les élèves de cette école tiendront un carnet de route, et s'engageront «à faire tout ce qui est humainement possible pour réussir ce défi», dixit Xavier Rémy, le directeur de l'établissement. «Ce sera le match de toute une école contre un ennemi qui a de gros moyens de séduction. Ce n'est pas gagné d'avance» a d'ailleurs tenu à souligner le responsable de l'école. (Paris Match)

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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 09:12

Le monde musical célèbre le centenaire de la naissance de l’organiste et compositeur Olivier Messian, né à Avignon le 10 décembre 1908. L'hebdomadaire France Catholique lui consacre un article dans son numéro 3120, article signé par Enrique Merello Guilleminot, membre du Chœur grégorien de Paris et fondateur d’une schola grégorienne à Montevideo. Un article que l'on peut retrouver sur le Forum Catholique en cliquant sur ce lien.

Par ailleurs, le liseur baudelairec2000 signale sur le Forum la sortie d'un coffret à l'occasion du 50ème anniversaire de Deutsche Harmonia mundi. Son message de présentation peut être lisu en cliquant sur ce lien.

Lien vers le site d'Hamonia mundi.

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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 08:01

Le cardinal italien Carlo Maria Martini a confié certains de ses sentiments à l’égard de l’Eglise dans un livre d’entretiens publié en Allemagne: "Conversations nocturnes à Jérusalem". A 81 ans, l’ancien archevêque de Milan y affirme par exemple :

"L’Eglise devra trouver de nouvelles idées concernant les vocations sacerdotales" avant d’affirmer que "la possibilité d’ordonner des viri probati (des hommes mariés, ndlr) doit être évoquée". Le cardinal Martini aborde aussi la question du rapport entre l’Eglise et la sexualité, n’hésitant pas à évoquer "malheureusement (…) les développements négatifs" de l’Encyclique Humanae vitae sur le mariage et la régulation des naissances de Paul VI (25 juillet 1968). Il souhaite aujourd’hui "un nouveau regard" de l’institution ecclésiale en la matière. Benoît XVI, estime-t-il, peut écrire une nouvelle Encyclique sur la sexualité et "peut indiquer une voie meilleure que Humanae vitae".
[APIC - I-Media - 19.05.2008 - Antoine-Marie Izoard]

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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 22:10
 
Il en fallait de l´audace et du talent pour oser mettre en images le chef-d´œuvre de Jean Raspail...

 

1986, sur les ondes, au cours d’une célèbre émission littéraire, Jean Raspail parle de son dernier livre Qui se souvient des hommes. Il y salue la mort d’un peuple, les Alakalufs, derniers Indiens de la Terre de Feu, et lui offre une survie dans notre mémoire. De l’autre côté du " transistor ", Jacques Terpant, penché sur sa planche à dessin, dresse l’oreille et se précipite en librairie. Petit à petit l’idée d’adapter en bande dessinée l’un des ouvrages de l’écrivain fera son chemin. Ce sera Sept cavaliers… Prospère et lumineuse autrefois, la Ville est presque abandonnée. Le télégraphe a été coupé. Plus aucun train n’arrive à la gare, ni plus aucun navire au port. La population s’est enfuie. Des bandes incontrôlées errent à travers le pays. Du monde extérieur aucune nouvelle ne parvient plus depuis déjà de nombreux mois. C’est la vie qui s’en est allée. Le souverain héréditaire ne règne plus que sur son château et sur une poignée de fidèles que l’ombre est sur le point d’effacer… Pour rompre ce mortel ensorcellement, sept cavaliers quittent la ville au crépuscule. Commence alors le plus étrange des voyages… Le style de Jacques Terpant, grand spécialiste de la couleur directe, est parsemé d'influences diverses. Grâce à sa technique du clair-obscur, il parvient à magnifier les mondes imaginaires rêvés par Jean Raspail. Celui-ci dira d’ailleurs de Jacques Terpant en voyant les planches de l’album : " Il est entré dans ma tête. " Peut-être sont-ils plutôt tous les deux dans le même rêve.

Source : site des éditions Robert Laffont, où vous pouvez découvrir (en cliquant sur le lien) quelques planches de cette BD.
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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 15:38
Les éditions Via Romana annoncent pour le 26 mai la parution des Actes d'un colloque consacré en 2007 à l'oeuvre de Mgr Louis-Gaston de Ségur.

Au sommaire :
 

Introduction – Michel De Jaeghere, président de l’Œuvre de Saint-François-de-Sales

 

MGR DE SÉGUR ET SON TEMPS

1857 – Thierry Buron, professeur agrégé d’Histoire contemporaine

Mgr de Ségur et le roi – Me Franck Bouscau, professeur agrégé des Facultés de droit

 

LE FILS DE LA COMTESSE

Les voyages de Louis-Gaston de Ségur – Marie-José Strich, docteur ès Lettres

Mgr de Ségur, homme de lettres et personnage littéraire – Alain Lanavère, docteur ès Lettres

 

MGR DE SÉGUR ET L’ÉGLISE : UN PRÉCURSEUR ?

Mgr de Ségur et les papes – Abbé Christian Thouvenot, recteur de l’Institut universitaire Saint-Pie X

Mgr de Ségur et la direction spirituelle – Denis Duverger, professeur agrégé de Lettres classiques

Mgr de Ségur et l’Union des Œuvres ouvrières catholiques – Daniel Pannier, docteur en Histoire, archiviste de l’Œuvre

 

MGR DE SÉGUR ET LES GRANDES FIGURES DU CATHOLICISME FRANÇAIS

Mgr de Ségur et le gallicanisme : « l’incident Darboy » (1864) à travers les archives de l'Œuvre de Saint-François-de-Sales – Daniel Pannier

Soufflet ou soufflé ? Retour sur l’incident Darboy – François Labadens, du Comité de rédaction des Cahiers séguriens

Mgr de Ségur et dom Guéranger – Dom Louis Soltner, archiviste de l’abbaye Saint-Pierre de Solesmes

Louis Veuillot et les Ségur – Benoît Le Roux, docteur ès Lettres

 

CONCLUSION

Pour une béatification – Daniel Pannier

Hommage à Marthe de Hédouville, biographe de Mgr de Ségur – François Labadens

Plus de détails directement sur le site des éditions Via Romana

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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 15:25
Nous vous annoncions la semaine dernière la publication dans PRESENT d'un entretien accordé par Jean Madiran à Jean Cochet à l'occasion de la réédition de La trahison des Commissaires chez Via Romana.

En voici le contenu.

La trahison des commissaires

Entretien avec Jean Madiran 

« Ce livre est une chronique et un procès de la nouvelle religion qui s’est introduite dans le clergé catholique et dans sa hiérarchie : la religion se disant conciliaire et collégiale. » Dans cette troisième édition « augmentée » de La trahison des commissaires, Jean Madiran « en analyse les épisodes récents les plus significatifs ». Pour les lecteurs de Présent l’auteur commente dans cet entretien les nouvelles révélations que contient son livre. J.C.


— « Commissaire » ?… Celui qui est chargé de certaines fonctions « spéciales et temporaires ». C’est l’appellation que vous donnez aux évêques qui composent la « commission doctrinale de la conférence des évêques de France ». Est-ce pour marquer le caractère « temporaire » et provisoire de leur mission ?

— J’utilise « commissaire » dans son sens courant de « membre d’une commission ». Le noyau dirigeant qui manipule la « collégialité épiscopale » en France multiplie les commissions et les comités ayant en quelque sorte délégation du pouvoir épiscopal pour tous les diocèses. J’appelle « commissaires » les évêques membres d’une commission, et « comitards » ceux qui sont membres d’un comité. Au moyen de ces comitards et commissaires, encadrés, manipulés, instrumentalisés par le noyau dirigeant, celui-ci instille les principes d’une religion nouvelle.

— C’est en effet de la « religion nouvelle » que votre ouvrage, La trahison des commissaires, fait l’analyse à partir de plusieurs points significatifs. Il s’agit aujourd’hui de sa 3e édition. La première était de novembre 2004. La page du titre souligne que cette troisième édition est « complétée ». En quoi consiste ce complément ?

— Il concerne le fait que Mgr Bruguès, qui était président de la commission doctrinale, a connu depuis 2004 trois promotions aussi spectaculaires qu’inattendues ; trois promotions en trois ans :

– « consulteur » à la congrégation pontificale pour les instituts de vie consacrée ;

– « consulteur » puis « secrétaire » à la très importante congrégation pour l’éducation catholique : « secrétaire » signifie en effet commandant en second !

— Ces promotions attesteraient donc que, selon vous, la « religion nouvelle, venue coloniser de l’intérieur la religion traditionnelle », aurait des adeptes bien placés dans les hautes sphères de la hiérarchie catholique ?

— A l’occasion de la troisième promotion, la plus importante, les journaux catholiques ont publié, plus ou moins résumé, un aperçu de la carrière ecclésiastique de Mgr Bruguès. Aucun d’entre eux, je dis bien aucun, à ma connaissance, n’a mentionné la fonction la plus importante qu’il ait occupé, celle de président de la commission doctrinale, à ce titre représentant et détenteur, par délégation, de l’autorité doctrinale de l’épiscopat. Une information essentielle a ainsi été omise par les uns, caviardée dans les renseignements donnés aux autres. Or c’est en cette qualité de président de la commission doctrinale qu’il avait fait les déclarations publiques les plus scandaleuses : par exemple celles où il attribuait à l’exégèse moderne la découverte de « l’existence de frères et sœurs de Jésus », qui venait, disait-il, « questionner la compréhension de l’énoncé dogmatique de la virginité perpétuelle de Marie » !

— Une allégation que vous réfutez d’autant plus aisément que le sens du mot « frère » en hébreu a été expliqué par les Pères de l’Eglise quasiment dès l’origine du christianisme : des cousins de Jésus ?

— Exactement. Il y a aussi, entre autres, son extravagante déclaration sur la lecture chrétienne de l’Ecriture qui ne conteste pas la lecture juive niant la divinité de Jésus. Que « l’une des deux [lectures] ait raison, prétend-il, n’entraîne pas que l’autre ait tort ». L’analyse de ces affirmations délirantes figurait dans la première édition de La trahison, elle demeure bien sûr dans cette troisième édition, mais celle-ci comporte le « complément » annoncé : l’exposé de la situation résultant de la promotion « au sein de la Curie », comme dit La Croix, d’un Jean-Louis Bruguès n’ayant rétracté aucune de ses contre-vérités.

— Dans la Postface de cette 3e édition vous vous posez la question : que peuvent faire des laïcs pour résister aux théologiens de la nouvelle religion ? Vous répondez : «  Ils peuvent d’abord invoquer mon compatriote saint Prosper d’Aquitaine (Ve siècle) qui n’était ni docteur diplômé, ni prêtre, ni même diacre ; mais chroniqueur, essayiste, controversiste et poète. »

— Oui, j’appelle au secours Prosper et son exemple. Ce libre théologien laïc s’était fait connaître d’abord en appuyant saint Augustin contre les chicanes de quelques moines de Lérins ; il soutint la controverse contre les pélagiens et semi-pélagiens qui croyaient que sans la grâce les hommes peuvent, de leur propre initiative, commencer l’œuvre de la conversion et du salut. Le pélagianisme reste d’actualité, notamment avec la religion MK dans La Croix, proclamant qu’il faut aujourd’hui passer d’une foi « héritée » à une foi « choisie » : à la racine de cette prétention, c’est bien une erreur pélagienne ou, si vous voulez, semi-pélagienne. En invoquant Prosper, j’entends bien marquer qu’il ne s’agit point là du « pouvoir temporel du laïcat chrétien » dont j’ai parlé dans l’avant-propos de mon opuscule sur L’accord de Metz. Il s’agit là, j’en ai bien conscience, de l’intervention du laïcat dans un problème proprement religieux, – dans la crise du catholicisme, de la théologie catholique, du clergé et de sa hiérarchie. Nous ne sommes plus dans le temporel, mais dans ce qui est, de soi, le domaine de l’autorité spirituelle, c’est-à-dire de l’évêque. Son autorité épiscopale ne le met pas à l’abri de requêtes et de protestations légitimes que les laïcs ont éventuellement le droit voire le devoir de lui adresser. Par exemple un laïc qui s’entend prêcher qu’il faut désormais passer d’une foi héritée à une foi choisie sent tout de suite que cela ne va pas, n’est en accord ni avec l’Ecriture, ni avec l’acte de foi. Tout laïc perçoit également avec évidence qu’on ne peut pas tenir l’affirmation et la négation de la divinité de Jésus pour deux lectures de l’Ecriture également légitimes.

— Dans cette Postface, vous intervenez d’une façon plus personnelle que d’habitude ?

— Ce n’est pas sûr. Voyez mon Maurras de 1992 et mon Maurras toujours là de 2004, tous deux toujours disponibles chez DPF (Chiré), sans parler de mon Brasillach de 1958, réédité en 1985 : au détour des pages, le lecteur attentif aperçoit que je m’y suis de temps en temps mis en scène, peut-être un peu plus qu’il ne convient. Les « confessions » personnelles ne me paraissent possibles que dans la mesure où elles ont une portée « didactique ». Et vous avez eu tout récemment mes totales « confessions didactiques » avec les deux longues confessions, et une très brève, recueillies sous le titre Les vingt cinq ans de « Présent », et le sous-titre : confessions didactiques justement. Mais puisque nous parlons de livres, et puisque j’ai nommé DPF, je voudrais terminer par ce qui ne sera une dégression qu’en apparence.

Entre les éditeurs et les libraires, il existe, toute-puissante et inconnue du public, la redoutable corporation des diffuseurs.

Cette corporation tend à monopoliser la communication entre éditeurs et libraires, en la rendant par son intermédiaire plus commode, plus rapide, et quasiment indispensable. Ce qui lui permet, par son abstention, d’empêcher la distribution des ouvrages démocratiquement « incorrects ». Si vous avez près de chez vous un libraire qui ait en magasin et qui expose en vitrine nos livres, c’est-à-dire ceux de Sanders, de Rémi Fontaine, d’Yves Chiron, de Dillinger, de Trémolet, – et les miens, sans nulle vanité – vous avez une chance rarissime, favorisez-le en lui réservant toutes vos commandes et en le faisant connaître autour de vous. Dans ce domaine aussi il faut une activité militante. Mais si vous n’avez pas cette chance, n’allez plus jamais chez des libraires qui nous ignorent ou qui mettent quinze jours, et seulement sur commande payée d’avance, pour vous procurer nos ouvrages. Adressez-vous à DPF (Chiré), c’est l’œuvre magnifique de Jean Auguy, aujourd’hui menacée comme nous tous par l’asphyxie de la lecture, l’amenuisement du public cultivé, l’asservissement des intelligences sous l’arbitraire abrutissant des médias. Défendez-nous. Défendez-vous !

Propos recueillis par Jean Cochet

• Jean Madiran : La trahison des commissaires , Via Romana, 15 euros.

Article extrait du n° 6590 de Présent, du Samedi 17 mai 2008

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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 12:57
Le club de natation des Dauphins du TOEC à Toulouse a eu la surprise de recevoir par erreur une facture de téléphone astronomique de plus de 371 millions d'euros. Le club, qui fête son centenaire et vient de voir quatre de ses nageuses sélectionnées pour les jeux Olympiques de Pékin, a reçu une facture émanant d'Orange France "pour un montant de... 371.650.682,33 euros !", a raconté à l'AFP Hélène Rovira, la trésorière du Toulouse olympique. "On a immédiatement fait opposition. Il s'agit manifestement d'une erreur car on aurait dû nous prélever par TIP seulement 697 euros", a-t-elle souligné. "On a appelé l'opérateur mais on nous a simplement répondu "on s'en occupe", sans pouvoir expliquer cette erreur", a-t-elle ajouté. (AFP).
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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 11:12

Une "Marche pour la Vie" sera organisée à Lyon, le 15 juin prochain. Elle devrait rallier l'Hôtel Dieu à la basilique Notre-Dame-de-Fourvière.
Notez dès à présent la date. Je vous en dirai plus lorsque j'aurai plus de détails.
XA

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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 11:02
pour mieux nous comprendre et comprendre les autres

Cinq CD à partir des conférences de Monsieur l'abbé Brucciani.

Plus de détails en lisant ce message.
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