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23 mai 2008 5 23 /05 /mai /2008 08:08
La Fraternité Sacerdotale Saint-Pierre vient de lancer un nouveau site dédié à son apostolat à Venise.

A découvrir en cliquant ici.
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23 mai 2008 5 23 /05 /mai /2008 08:06
Romain Katchadourian
C’est aujourd’hui la journée nationale « Hygiène des mains. » Elle a pour but de sensibiliser le personnel hospitalier à l’importance de cette pratique. Mais l’hygiène des mains ne se limite pas à l’hôpital.
En 1997, une étude du docteur Frédéric Saldmann avait beaucoup fait parler d’elle. On y apprenait que les cacahuètes posées sur le comptoir d’un bar contenaient quatorze traces d’urines différentes. Alerte générale, la France vivait dans la psychose des arachides contaminées et traquait les réfractaires de la savonnette. Mais onze ans après, les choses ont-elles véritablement changé ? Un rapport de l’Inpes datant de 2005 semble le montrer. Effectuée sur un échantillon de 4.000 personnes de 18 à 79 ans, l’enquête nous apprend que 90,3 % d’entre elles déclarent se laver les mains au moins cinq fois par jour. Les femmes seraient même 53 % à se les laver plus de dix fois, contre 32 % pour les hommes. Près de 97,5 % des personnes interrogées le font « systématiquement » après être sorties des toilettes. La bataille des cacahuètes propres à la consommation semblait donc être gagnée mais on ne peut pas en dire autant de tous les supports.

Au bureau, 3.249 germes au centimètre carré

Charles Gerba, professeur de microbiologie à l’université d’Arizona a mené l’enquête. Son étude démontre qu’une table de bureau contient environ 400 fois plus de bactéries que la cuvette des toilettes. Il a compté 3.249 germes par centimètre carré pour la table contre 8 pour les toilettes. Ces résultats accablants sont dus aux milliers de germes que nos mains sales véhiculent. Pour éviter la prolifération des bactéries, leur lavage régulier est donc primordial.

Et les risques sont bien réels : 80 % des maladies bactériennes peuvent être transmises par les mains, par contact avec une autre personne ou par la présence d’un germe sur une poignée de porte. C’est le cas d’infections telles que la grippe, la gastro-entérite ou encore de germes responsables d’indigestions alimentaires. Pour éviter de contaminer les autres ou les aliments, plusieurs habitudes sont bonnes à prendre : penser à se laver les mains en sortant des toilettes, évidemment, mais aussi avant de cuisiner, après avoir éternué, toussé ou joué avec votre animal de compagnie. Si vous avez pris les transports, faites-le dès que vous arrivez chez vous. Ces réflexes simples vous prémuniront contre beaucoup de désagréments.

Edition France Soir du vendredi 23 mai 2008 n°19804 page 14

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 20:56

L'intégrale est dans la poche

L'intégrale de Jean Anouilh est désormais disponible en livre de poche, dans la collection Petite Vermillon, aux éditions de la Table ronde, là même où voici soixante ans avait été éditée la première grande pièce du dramaturge : Antigone. Pour ceux qui restent décidément allergiques à la Pléiade, à son papier bible et à son prix, voilà vraiment une bonne nouvelle.

Jean Anouilh se définissait souvent comme « un boulevardier ». Loin de considérer ses pièces comme des chefs-d'œuvre intemporels, il a voulu stigmatiser son épo­que, ses mœurs, ses obsessions, ses folies. Ses textes sont grinçants ? Peu importe. Le privilège de l'homme de théâtre est d'atteindre, d'un mot, ce qui fait mal, de toucher la vérité d'une réplique, de saisir au vol l'essentiel d'un problème, là où le romancier a besoin bien souvent d'un livre pour s'en approcher. Et tant pis si la vérité n'est pas toujours belle à regarder.

Dans Le Nombril, sa dernière pièce, écrite en 1981, il se met lui-même en scène en misanthrope atrabilaire sous les traits de Léon, et il nous livre avant de mourir (en 1987) certaines clefs de son art. C'est bien lui qu'on entend s'écrier par la bouche de Léon, père génial, pressuré par sa femme, ses enfants, sa maîtresse et son ami d'enfance, qui n'en attendent que de l'argent : « Ah ! Elle n'est pas belle à contempler nue, la vérité, un vrai monstre mal foutu, à vous guérir de l'amour. C'est une de ces filles qu'on a intérêt à prendre tout habillée. Mais enfin, elle est ce qu'elle est la vérité ». 

« Je me soutiendrai moi-même, j'ai ma canne »

Anouilh n'a jamais voulu pren­dre parti dans la vie, parce que pren­dre parti, c'était pour lui une manière de transiger avec la vérité. Ainsi cet ancien rédacteur à « Je suis partout » n'a jamais voulu faire sem­blant d'être gaulliste, quoi qu'il ait pu lui en coûter. Il a refusé tous les honneurs et les distinctions, persuadé que son théâtre vivrait par lui-même, d'une vie absolument au­tonome qui ne serait pas liée à sa personnalité ou à sa biographie. Pas facile dans ces conditions d'être la femme de l'auteur : « Tu avais déjà contre toi les Juifs, les communistes et les gaullistes, lance Ardèle à Léon, toujours dans Le Nombril. Avec ta haine irraisonnée du Général (ne parlons pas des curés, ils ne comptent plus) - il ne te manque plus que de te mettre à dos les pédérastes - qui avaient observé jusqu'ici une neutralité bienveillante à ton égard - et il ne te restera personne pour te soutenir à Paris. » « Je me soutiendrai moi-même, j'ai ma canne », répond, superbe, l'auteur à sa douce en colère.

Cette raideur du personnage, qui ne cherche à être avec personne, Anouilh l'a bien saisie dans L'Hurluberlu, pièce sous-titrée Le réactionnaire amoureux, où l'on dé­couvre sous le masque du Commandeur une vraie tendresse pour ses personnages, cette tendresse qu'il a en particulier pour toutes les jeunes femmes qu'il met en scène, non seulement l'Aglaé qui est la jeune épouse de L'hurluberlu, mais aussi Antigone, bien sûr, Eurydice, et Jeanne, l'Alouette, dont l'histoire pense-t-il ne peut et ne doit pas se terminer sur un bûcher. « Je ne connais pas de vie exemplaire. A part Jeanne d'Arc », déclarera-t-il dans Le Nombril. C'est sans doute parce qu'elle est exemplaire qu'il refuse de la faire mourir.

Son Antigone, en revanche, n'est pas irréprochable. C'est une pasionaria fatigante, pas une sainte. Le défaut de sa cuirasse d'héroïne ? Elle s'aime trop elle-même, elle aime trop sa cause parce que c'est la sienne et au final d'ailleurs, peu lui importent ses deux frères Etéocle et Polynice, comme le découvre le lecteur stupéfait. Elle a tout bravé pour eux ? Elle a bravé Créon ? Elle a bravé la mort ? C'était avant tout pour l'image qu'elle avait d'elle-même. En 1942, une telle critique de l'idéalisme politique n'a pas plu à tout le monde.

Mais ne nous laissons pas pren­dre au pessimisme de Jean Anouilh, Basque têtu, réac et fier de l'être. Même dans les pièces les plus noires, il y a l'amour : « Tu vois, ma belle, sur cette terre où tout nous brise, où tout nous déçoit, où tout nous fait mal, c'est une consolation merveilleuse de penser qu'il nous reste l'amour [...] Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches. Les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses ou dépravées. Le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange. Mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de ces deux êtres, si imparfaits et si affreux » (Eurydice).

Même lorsque le bilan reste accablant, comme dans La Culotte (1978), cette critique du féminisme, ou dans Le Boulanger, la Boulangère et le Petit Mitron, cette chronique impitoyable de la destruction d'un cou­ple, Anouilh sait préserver sa place à l'émotion. Avec des mots de tous les jours, il offre à ses lecteurs et plus encore aux spectateurs de ses pièces cette possibilité trop facilement méprisée d'un salut par l'émotion. C'est par là, avant tout, que, malgré ses dires, Anouilh est bien plus qu'un auteur de théâtre de boulevard.

Un tout petit regret et une de­mande à l'éditeur : à quand la réédition en poche des Fables, à travers lesquelles notre auteur a si bien su se moquer de la sagesse un peu ob­tuse du bonhomme La Fontaine en parodiant certaines des plus cé­lè­bres de ses œuvres ?

Joël Prieur 
Article extrait de Minute numéro 2359 du 15 mai 2008, reproduit avec l'aimable autorisation de Jean-Marie Molitor
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Jean Anouilh, Pièces brillantes, Pièces grinçantes, Nouvelles Pièces grinçantes, Pièces roses, Pièces noires, Pièces farceuses, éd. La Table ronde, 13 euros le volume port compris.

Pièces costumées, Pièces secrètes, Pièces baroques, 11,50 euros le volume port compris. Sans oublier Antigone, Médée et Œdipe ou le Roi boiteux, 8,40 euros chacune port compris.

Les Pièces juvéniles sont offertes par l'éditeur pour tout achat d'au moins deux volumes de la collection Anouilh en poche.

Sur commande à : Minute, 15 rue d'Estrées, 75007 Paris.

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 11:55

Mgr Éric de Moulins-Beaufort et Mgr Renauld de Dinechin sont nommés évêques auxiliaires de Paris
Le pape Benoît XVI a nommé évêques auxiliaires de Paris Mgr Éric de Moulins-Beaufort, jusqu’à présent secrétaire particulier de l’archevêque de Paris, et Mgr Renauld de Dinechin, jusqu’à présent curé de la paroisse de Cergy et doyen du doyenné de Cergy.

 

Biographie de Mgr Éric de MOULINS-BEAUFORT
Fils de Jean-Louis de Moulins-Beaufort, officier, et de Madame, née Françoise Liénard, Mgr Éric de Moulins-Beaufort est né le 30 janvier 1962 à Landau (Allemagne).

Formation
Après avoir étudié à l’Institut d’Études politiques de Paris et à l’Université de Paris II (Sciences économiques) et accompli son service militaire, Mgr Éric de Moulins-Beaufort est entré à la Maison Saint-Augustin, année de formation spirituelle de l’archidiocèse de Paris (1984). Il a ensuite suivi des études supérieures de théologie à l’Institut d’Études théologiques de Bruxelles (1985-1990), au séminaire français de Rome (1990-1991), puis à l’Institut catholique de Toulouse (1995-1997).
Il est titulaire d’une maîtrise de Sciences économiques, diplômé de l’Institut d’Études politiques de Paris, licencié et docteur en théologie.
Mgr Éric de Moulins-Beaufort a été ordonné prêtre le 29 juin 1991 pour l’archidiocèse de Paris.

Ministères

1992-2000 Directeur au Séminaire de Paris et enseignant au Studium du Séminaire (devenu Faculté Notre-Dame de l’École cathédrale) ; Responsable de la Maison Saint-Roch du Séminaire de Paris (1997-2000) ;

1992-1993 Aumônier du collège Montaigne ;

1993-1994 Aumônier du collège Louis-le-Grand ;

2000-2005 Curé de la paroisse Saint Paul-Saint Louis et enseignant à la Faculté Notre-Dame de l’École cathédrale ;

Dep. 2005 Secrétaire particulier de l’archevêque de Paris et enseignant, puis professeur « extraordinaire », à la Faculté Notre-Dame de l’École cathédrale.

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Biographie de Mgr Renauld de DINECHIN
Fils de Jean de Dinechin, officier de marine, et de Chantal de Dinechin,
Mgr Renauld de Dinechin est né le 25 mars 1958 à Lille (Nord). Il est d'une famille de cinq enfants. 
 

Formation

Après des études de comptabilité et deux années de vie professionnelle, Mgr Renauld de Dinechin a suivi des études supérieures de théologie à l’Institut d’Études théologiques de Bruxelles (1983-1988).
Il est titulaire d’un B.T.S. de comptabilité-gestion et d’un baccalauréat en théologie.
Mgr Renauld de Dinechin a été ordonné prêtre le 25 juin 1988 pour l’archidiocèse de Paris.

Ministères

1988-1995 Vicaire de la paroisse de l’Immaculée Conception, aumônier du collège-lycée Paul Valéry et du collège-lycée Saint-Michel de Picpus ;

1992-1995 Adjoint du directeur pour le 2e cycle des Aumôneries de l’Enseignement public du diocèse de Paris ;

1995-1996 Postulant à l’Institut séculier Notre-Dame de Vie (Venasque) ;

1996-2002 Délégué diocésain pour les vocations religieuses et sacerdotales ; directeur de la rédaction de la revue "Vocations en Ile-de-France".

1996-2001 Aumônier à la Sorbonne, en Mission Etudiante à Saint-Germain des Prés ;

2001-2003 Aumônier à l’Université Jussieu ; en Mission Etudiante à Saint-Germain des Prés ;

2002 Vœux perpétuels à l'Institut séculier Notre-Dame de Vie.

2002-2006 Conseiller pour la branche sacerdotale de Notre-Dame de Vie ;

2003-2004 Membre de l’équipe de la Fraternité missionnaire des prêtres pour la Ville (FMPV) à la cathédrale Saint-Maclou de Pontoise à la disposition du diocèse de Pontoise ;

Dep. 2004 Responsable de l’équipe FMPV de Cergy à la disposition du diocèse de Cergy et curé de la paroisse de Cergy ;

Dep. 2006 Doyen du doyenné de Cergy.

Dep. 2008 Secrétaire général du Conseil Presbytéral de Pontoise.

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 11:55

Le pape Benoît XVI a nommé évêque de Laval – siège vacant à la suite du transfert de Mgr Armand Maillard à l’archevêché de Bourges -, Mgr Thierry SCHERRER, jusqu’à présent doyen du doyenné Aix-Sainte Victoire et curé de la paroisse de la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix en Provence (archidiocèse d’Aix et d’Arles).

Biographie de Mgr Thierry SCHERRER
Fils de Bertrand Scherrer, aviateur, et de Madame, née Sabine Magnien, Mgr Thierry Scherrer est né le 22 janvier 1959 à Versailles (Yvelines).

Formation
Après des études à la Faculté de Lettres de Montpellier et à la Faculté de Médecine de Marseille, Mgr Thierry Scherrer a été au Séminaire de Paray-le-Monial (1981-1984) et au Séminaire Saint-Luc à Aix-en-Provence (1984-1987). Il a fait ensuite une licence en théologie à l’Institut d’Études théologiques de Bruxelles (1987-1989) puis un doctorat en théologie à l’Université grégorienne de Rome. Il est licencié et docteur en théologie.
Mgr Thierry Scherrer a été ordonné prêtre le 29 juin 1988 pour l’archidiocèse d’Aix et d’Arles.

Ministères

1989-1991   Chapelain à l’église Saint-Louis-des-Français à Rome, en mission d’études ;

1991-1996 Vicaire à la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix-en-Provence et aumônier des étudiants, chargé de la coordination  des aumôneries d’étudiants d’Aix-en-Provence ;

1996-2004 Membre de l’équipe des formateurs du Séminaire Saint-Luc, Supérieur de la communauté Saint-Jean-Baptiste (année propédeutique du Séminaire diocésain) et délégué épiscopal au Service diocésain des vocations ;

1999-2004 Prêtre accompagnateur du Service diocésain de la Pastorale de la Santé ;

2002-2004 Prêtre auxiliaire au service des paroisses de Bouc-Bel-Air et Cabriès-Calas ;

2004-2007 Curé de la paroisse de Puyricard et doyen d’Aix-Sainte Victoire ;

2006-2007 Administrateur paroissial des paroisses de Peyrolles, Jouques, Meyrargues, Le-Puy-Sainte-Réparade, Saint-Canadet et Saint-Paul-lès-Durance, de l’unité pastorale Aix-Val de Durance ;

Depuis le 9 sept. 2007 Curé de la paroisse de la cathédrale Saint-Sauveur d’Aix-en-Provence et doyen d’Aix-Sainte Victoire.

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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 08:58
On apprend par le biais du site de Pro Liturgia que l'autel de l'ancien Grand Séminaire de Grenoble, où fut ordonné Saint Jean-Marie Vianney en août 1815, et qui avait été transféré à la Visitation de Vif après la Séparation de 1905, va revenir à Grenoble.
En effet les Soeurs vont devoir partir. L'autel qu'elles avaient récupéré va être transféré à la cathédrale, où il sera bien mis en valeur par le nouveau Recteur, un jeune prêtre "qui fait beaucoup pour remettre à l'honneur une cathédrale qui fut longtemps la belle au bois dormant de Grenoble".
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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 08:14
Interpellée en possession de bibles et d'évangiles, Habiba Kouider est accusée de «pratiquer un culte non musulman, sans autorisation».

Le correspondant du Figaro a suivi son procès mardi.

A lire en cliquant ici.
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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 08:00

Éducation - Le Haut Conseil de l'éducation va réfléchir à une nouvelle appellation des classes en élémentaire.

EXIT le CP, le CE1 ou encore le CM2 chers à notre enfance ? Le président du Haut Conseil de l'éducation, Bruno Racine, également président de la Bibliothèque nationale de France, a émis l'idée de changer l'appellation des classes du primaire. Une proposition faite à l'occasion de la remise de l'avis favorable du Haut Conseil sur les programmes du primaire. Bruno Racine devrait faire des propositions de nouvelles appellations à Xavier Darcos. Justification technique d'un tel changement : les classes de grande section de maternelle, de CP et de CE1 appartiennent à un cycle appelé cycle des apprentissages fondamentaux tandis que les trois dernières classes du primaire appartiennent au cycle dit des approfondissements. « Il n'est pas compréhensible que la dernière année du cycle des apprentissages fondamentaux soit appelée cours élémentaire première année ou que la première année des approfondissements soit appelée cours élémentaire deuxième année », soulignent les membres du HCE.

 

Contre le redoublement

Au ministère, on reconnaît attendre des propositions, tout en rappelant que les programmes insistent également sur une progression annuelle des élèves. On sait aussi qu'un éventuel changement de nomenclature perturberait des habitudes solidement ancrées. Autre point, le Haut Conseil se prononce contre la pratique du redoublement car faire redoubler un élève en cours de cycle est contraire même à la notion de cycle. « Quant au redoublement en fin de cycle, il devrait n'être prononcé qu'en dernier recours », expliquent les membres du Haut Conseil. Une opinion partagée au ministère, tant pour des raisons pédagogiques des études mettent en avant les effets néfastes du redoublement. Ils sont d'autant plus négatifs s'il est pratiqué tôt. Autre grief : il coûte cher. En attendant ces changements, une intersyndicale du primaire représentant près de 80 % de la profession a acté hier le principe d'un texte de protestation à Nicolas Sarkozy sur la méthode et sur le fond de son projet de service minimum d'accueil.

Le Figaro - A.Sé - 20/05/2008
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21 mai 2008 3 21 /05 /mai /2008 07:32
On peut découvrir sur le blog des amis de Gilbert Keith Chesterton la bande annonce du deuxième volet du Monde de Narnia, adapté au cinéma par Andrew Adamson. Le Monde de Narnia est une interprétation cinématographique des Chroniques de Narnia de C.S. Lewis.
A voir en cliquant ici.
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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 21:03
Un fil de discussion lancé par Justin Petipeu sur le Forum Catholique au sujet des écoles hors-contrat.

A lire (et enrichir) en cliquant ici.
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